Rencontre Sportive [Saison 1]

Aujourd'hui, jour maudit par Mitsuko, est le jour de la rencontre sportive en deux lycées, Warui et Kashikoi.
La course en nage crolle, allait commencé et Mitsuko ne se pressait pas le moins du monde...

Elle bouscula des élèves du lycée opposant et ferma la porte de vestiaire. Sans aucune pudeur elle se déshabilla devant toutes les participantes, et se mit en maillot de bain, 1 pièce, plutôt sexy, avec un grand décolté, laissant apparaitre ses formes appétissante pour beaucoup d'hommes et femmes.
Toujours avec son air agacé, elle r'ouvrit la porte et sortie, passant devant de nombreux lycéens, elle s'amusait comme toujours a les provoqué en roulant des hanches.
Arrivé sur le plongeoire, toutes les autres participantes étaient déja installées. Elle mis son bonnet de bain et se fit craquer les épaules avant de soupirer pour la centième fois.
Le coup de sifflet rententis, d'une légère poussé sur ses pied elle fit un très beau plongeant la faisant gagnée la moitié du bassin, en apnée.
Les autres participantes étaient a son niveau et Mitsuko nageait doucement, elles devaient faire 6 longueures.
A la dernière longueur Mitsuko accéléra enfin et fini 2ième derrière une fille du lycée adverse, qui avait utilisée la même technique d'elle.

Mitsuko se rendit encore une fois au vestiaire et se changea, elle mit uniforme, deux de ses amies étaient venues l'acclamer, dans les vestiaires. Elle sourrit et les remercia, de son habituel don pour la comédie elle éclata de rire a une blague stupide que l'une avait faite a l'adresse de la gagnante qui se changeait, gênée.
Au bout d'une demi heure Mitsuko ouvrit la porte brusquement des vestiaires pour sortir, elle tourna les talons vers la sortie, ne faisant pas attention aux élèves comme d'habitude, soudain une jeune fille lui rentra dedans.
Les deux élèves se retrouvèrent chacunes sur leurs fesses.
Mitsuko ouvrit les yeux, elle avait un regard noir.

"Fais attention gamine !"

*bip bip bip bip*

Aoki éteignit son réveil avec rage, jeta un coup d’œil à l’heure qu’affichait les chiffres rouges et poussa un gémissement : elle était en retard, encore une fois.

Elle sauta au bas de son lit, enfila son uniforme à toute vitesse, attrapa son sac de sport et se précipita en dehors de l’appartement en criant « Au revoir, M’man! ».

Dehors, elle n’attendit pas que le feu soit vert pour traverser. Elle slaloma entre les passants, tous plus outrés les uns que les autres de recevoir un coup de sac de la part d’une jeune lycéenne, et s’engouffra dans la station de métro sans demander son reste. Une fois sur le quai, elle se jeta dans l’une des rames de justesse avant que les portes ne se referment, et atterrit lourdement sur un jeune lycéen visiblement aussi en retard qu’elle vu les épis qu’il avait dans les cheveux. Elle s’excusa entre deux respirations profondes, arrangea ses propres cheveux et sortit à l’arrêt suivant.

En effet, c’était aujourd’hui la rencontre sportive et culturelle inter-lycées Warui-Kashikoi. Et, faisant partie du club d’athlétisme, elle se devait d’y être plus tôt que d’habitude…

A peine les portes du métro entrouvertes qu’elle se glissa dehors pour passer le portique la première. Elle monta les escaliers quatre à quatre, son sac ballotant dangereusement sur son épaule, et couru le long de la rue jusqu’au complexe sportif où se déroulait les épreuves. Là, les couloirs étaient bondés de monde, courant en tout sens pour ne pas rater un départ ou une arrivée de course. Des parents d’élèves étaient également présents.

Alors qu’elle se rapprochait enfin de son vestiaire, elle heurta quelqu'un de plein fouet et se retrouva propulsée en arrière. Déséquilibrée par sa course et son sac, elle atterrit lourdement sur les fesses en lâchant une exclamation de surprise.

- Aïe!
- Fais attention, gamine!

Aoki releva les yeux, toujours sonnée et quelque peu stupéfaite par la réaction de l’autre jeune fille. Celle-ci avait de longs cheveux sombres encore humides, un joli visage, ainsi qu’une poitrine généreuse. Le regard noirs qu’elle lui lançait à cet instant aurait découragé les plus téméraires. Pour se faire pardonner, Aoki se releva prudemment en prenant soin de ne pas s’appuyer sur sa jambe gauche et tendit la main à l’élève pour l’aider à se relever.

- Excuse-moi, je ne t’avais pas vu, j’ai une compétition dans dix minutes, lui expliqua-t-elle.

Elle lui sourit chaleureusement pour l’encourager à se relever.

Mitsuko regarda la jeune fille se relever d'un air mauvais, elle s'escusa poliment et lui tendit la main pour l'aider a se relever.
D'un mouvement sensuel et plein de grâce, Mitsuko se releva seule, en ignorant la jeune fille. Puis elle tourna sa tête vers Aoki.

"Ne me tutoie pas, une enfant comme toi n'en a pas le charisme...si tu as une compétition dans 10 minutes il ne fallait pas etre en retard et dérangé les autres personnes."

Les amis de Mitsuko arrivèrent se demandant ce qu'il se passait, elle approchèrent de Aoki et l'encerclèrent, avec des rires mesquins.
Les garçons de la classe de Mitsuko arrivèrent et chuchottèrent entre eux "encore une fille aurait dû rester chez elle".
En effet, deux "amies" de Mitsuko comencèrent a bousculer la pauvre adolescente du bras, une autre commença a lui tirrer les cheveux.
Mitsuko les bras croisés regardait la scène d'un air hautain, le sourrir aux lèvres.
Une élève de la classe de Aoki arriva alerté par les cris des spectateurs, elle allait aidé sa camarade lorsque Mitsuko la retint par les cheveux, la faisant basculer en arrière et tomber sur le derrière. La jeune fille se mit a pleurer et partis en courrant.
Mitsuko soupira et regarda de nouveau Aoki.

"C'est ça, ce qu'on appel des amis...ma pauvre, tu es toute seule."

Une élève Warui préparait un coup de pied vers la jambe de Aoki pour la faire tomber, lorsque Sôma frappa dans ses mains, les jeunes s'arrêtèrent immédiatement.
Elle avança d'un pas et de sa main gauche releva la tête de Aoki.

"Aujourd'hui je suis gentille, je te laisse les jambes intactes pour que tu puisse faire ta compétition...je ne te connais pas, mais dorénavant je t'aurais a l'oeil...les filles vous pouvez partirent laissez moi seule avec cette...enfant."

Mitsuko soupira et pris brutalement le bras de Aoki.

"Ecoute moi bien, je suis loin d'etre gentille et d'etre ton amie juste parceque tu t'es escusé...pour que je te pardonne il faut me donner quelque chose qui pourrait me servir...et pour l'instant j'ai tout ce que je veux. Tu t'appel comment ? Ne t'inquiète pas, tu as encore 5 minutes avant d'etre totalement en retard."

Aoki fut très surprise que la jeune fille n’accepte pas sa main pour se relever. Mitsuko lui lança un regard glacial et lui déclara :

- Ne me tutoie pas, une enfant comme toi n'en a pas le charisme... Si tu as une compétition dans 10 minutes il ne fallait pas être en retard et déranger les autres personnes.

Aoki n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche que déjà elle se trouvait encerclée d’élèves portant l‘uniforme du lycée Warui. Deux d’entre elles s’avancèrent vers la jeune athlète et commencèrent à la pousser en tout sens, à lui tirer les vêtements, les cheveux…

Aoki laissa tomber son sac pour mieux se défendre et se protéger le visage. Au milieu des coups, elle aperçue la déléguée de sa classe tenter une approche téméraire pour prendre sa défense, mais Mitsuko calma très vite ses ardeurs.

Les coups pleuvaient, et Aoki aperçue un élève adverse de haute stature préparer un coup vers ses jambes.

* Non, pas à cet endroit! * pensa-t-elle, alarmée.

Elle se recroquevilla sur le sol, les mains sur la tête, en poussant un cri aigu pour attirer l’attention des adultes. Puis soudain, tout s’arrêta. L’autre jeune fille avait simplement tapé dans ses mains, et les coups avaient arrêtés de pleuvoir.

Aoki se détendit légèrement, le regard hagard, du sang à la commissure de ses lèvres. Elle n’eut pas le temps de se redresser correctement que déjà, son adversaire lui enfonça ses ongles dans le cuir chevelu en lui parlant près du visage :

- Aujourd'hui je suis gentille, je te laisse les jambes intactes pour que tu puisses faire ta compétition... Je ne te connais pas, mais dorénavant je t'aurais a l'oeil... Les filles vous pouvez partir, laissez moi seule avec cette... enfant.

Les sbires de Mitsuko s’exécutèrent, laissant les deux élèves seules dans un coin isolé du couloir, à l'abri des regards. Elle se tourna de nouveau vers Aoki. La jeune fille à genou sur le sol, Mitsuko au dessus d’elle, était totalement à sa merci.

- Écoute moi bien, je suis loin d'être gentille et d'être ton amie juste parce que tu t'es excusé... Pour que je te pardonne il faut me donner quelque chose qui pourrait me servir... Et pour l'instant j'ai tout ce que je veux. Tu t'appelles comment ? Ne t'inquiète pas, tu as encore 5 minutes avant d'être totalement en retard.

Aoki regardait cette parfaite inconnue dans les yeux. Elle ne savait pas où elle puisait toute cette haine, toute cette méchanceté gratuite, mais elle devait certainement en user souvent. Et, à dire vrai, toute cette énergie négative qui émanait de la jeune fille effrayait Aoki. Elle déglutit avec difficulté et répondit d’une petite voix :

- Je m’appelle Daemo Aoki… Terminal 3B du lycée Kashikoi.

Puis elle se tut, préférant ne pas irriter une nouvelle fois l’effroyable jeune fille…

Comme d’habitude, n’importe quels élèves obéissaient à Mitsuko, encore une fois un élève n’osait la contre dire.
Cela la laissait, que personne n’ai d’audace à se révolter, enfin… les seuls personnes qui avaient essayées avaient payé le prix fort en fonction de ce qu’elle avait ressentie.
Mitsuko se courba légèrement pour être à la hauteur de la jeune fille. Des garçons se trouvaient derrière la jeune fille Warui, ils riaient et l’on pu entendre un déclic d’appareil photo de portable, apparemment ils s’amusaient à prendre la vue qu’ils avaient de la jeune furie. D’un regard agacé, tout en continuant à regarder Aoki Daemo, elle leva doucement sa jupe de sa main gauche pour que les garons puissent en profiter, ils éclatèrent de rire et continuèrent de plus belle.
Au bout d’un grand nombres de prose, ils partirent, en passant devant Mitsuko, qui ne manqua pas de les regarder d’un air mystérieux, visiblement ils étaient du lycée Kashikoi. Elle revint à la jeune fille, avec un sourire inquiétant.

« Ils ne savent pas que chez moi c’est donnant donnant, ils viennent de creuser leur propre tombes..ces puceaux !
Bon revenons à nos moutons, je m’occuperais d’eux plus tard… donc tu te nomme Aoki Daemo. »

Elle pris la jeune fille par les cheveux et la tira jusqu’au mur, où elle la plaqua violemment . Elle mis de part et d’autre de sa tête, ses deux mains. Elles étaient maintenant face à face, Aoki plaquer contre le mur tremblant devant Mitsuko, qui la dévisageait.

« Comme tu es adorable, tu m’intéresse, jeune fille modèle, et qui plus est courtoise… je vais devoir arranger ça, jeune pucelle. »

Elle bloqua de ces deux jambes, celles de Aoki qui regardait Mitsuko effarée. La jeune démone sourit et balada sa main droite sur le coup de Aoki, puis descendit sur la cuisse de celle-ci la caressant sensuellement, elle commençait a faire remonter la jupe de Aoki lorsque l’organisateur annonça que la compétition d’athlétisme allait bientôt commencer. La main de Mitsuko revint près du visage de Aoki et avec un sourire triomphant, elle se déplaça, laissant Aoki libre de ses mouvements.

« Sache que je t’attend, je vais te regarder courir et si tu ne te trouve pas ici après ta course, je te jure que les jolis talons que tu vois là, irons droit dans ton postérieur, lorsqu’on intéresse Mitsuko Sôma on ne la fait pas attendre ! »

Elle pinça fortement la joue de Aoki et croisa les bras partant vers les tribunes, des élèves se retournèrent chuchotant a son passage, mais tous baissèrent les yeux quand celle-ci les regardait.

Après l’épisode du « voyeurisme » des jeunes garçons, Mitsuko resserra son emprise sur la chevelure de Aoki pour la projeter violemment contre le mur.

- Comme tu es adorable, tu m’intéresses, jeune fille modèle, et qui plus est courtoise… je vais devoir arranger ça, jeune pucelle, lui murmura-t-elle, une lueur de démence au fond du regard.

Aoki écarquilla les yeux lorsqu’elle sentit une jambe de Mitsuko se glisser entre les sienne. Elle n’eut pas le temps de baisser les yeux que déjà la main de son bourreau se balladait dans son cou. La jeune lycéenne était pétrifiée, sa respiration était haletante et elle sentait sa peau moite sous l’emprise du stresse. Elle n’arrivait pas à articuler ni à émettre le moindre son, auquel cas on aurait put l’entendre hurler à l’autre bout du bâtiment.

Mais soudain, la main de la furie descendit jusqu’à la cuisse d’Aoki pour la caresser de manière sensuelle, jusqu’à ce qu’elle remonte sous la jupe de son uniforme. La jeune fille se sentait extrêmement mal, et de grosse perles de sueur barraient son front. Elle respirait de plus en plus difficilement, et elle serait certainement tombée par terre si l’autre jeune fille ne la plaquait pas fermement.

Puis, une voix grésilla au loin dans un mégaphone. L’organisateur de la rencontre annonçait le début de sa propre course. Mitsuko se recula subitement, un horrible sourire aux lèvres. Elle parla fermement à Aoki, l’obligeant à se rendre de nouveau ici après sa course, et s’en alla…

La pauvre jeune fille était totalement désemparée. Son cerveau tournait à cent à l’heure, et son cœur battait à un rythme impressionnant : elle avait l’impression de déjà avoir fait sa course. Elle se décolla doucement du mur à présent humide, et tituba jusqu’au vestiaire, son sac pendant au bout de son bras.

Elle se laissa tomber mollement sur le banc, se déshabilla avec des geste saccadés, la respiration sifflante, et enfila rapidement sa tenue de sport, ainsi qu’une genouillère à son genou gauche. Elle jeta un coup d’œil à sa montre et s’alarma : on devait sûrement l’attendre sur le terrain. Elle sortit du vestiaire en petite foulées et arriva sur la piste, toujours aussi désorientée.

- Alors, Daemo! Où étais-tu? Toute l’équipe t’attends, c’est toi qui fais le sprint final de la course de relais!
- Oui Sensei, excusez-moi, mon réveille n’a pas sonné…

La jeune fille alla se mettre en place au bout de la piste. Ses coéquipières et elle devaient parcourir un kilomètre en tout. Elles étaient cinq, toutes les meilleures du lycée, et Aoki devrait se montrer à la hauteur. Puis, un coup de feu retentit : le départ était lancé. Les premières filles s’élancèrent à toute allure pour faire passer le relais, les secondes commençaient déjà à trottiner pour le récupérer. Tout se passa très vite, Aoki se saisi enfin du relais et prit de la vitesse. A présent, elle était au coude à coude avec l’une des élève du lycée Warui et la ligne d’arrivée se rapprochait dangereusement. La jeune athlète força une dernière fois sur ses muscles, et gagna la course de justesse.

Elle n’eut pas le temps de souffler que déjà ses coéquipières se précipitèrent vers elle, le sourire aux lèvres, la victoire en poche. Aoki sourit faiblement, jeta un regard distrait dans les tribunes, et se figea : Mitsuko était là, au premier rang, et l’observait intensément. Le sourire d’Aoki se volatilisa, et elle prit tout son temps pour ne pas rentrer trop vite dans les vestiaires…

En effet Mitsuko regardait intensement la jeune fille courire, ses deux amies qui étaient près d'elle regardait les hommes non loin de là qui étaient en train de s'échauffer, vu les habits cours et moullant que les sportifs avaient c'étaient très facile de pouvoir regardait a leur aise les courbes du corps.

""Mitsuko Mitsuko regarde celui-ci ! Le brun en bas au cheveux mi-long, il est mignon, pile ton type ! Eh tu m'écoute, tu regarde quoi ?""

Mitsuko comme sortie d'une rêverie, plutôt suspect...se retourna vers son 'amie' le regard noir. Elle sursauta et fit un sourire crispé.
Mitsuko montra du regard la jeune Aoki qui venait de gagner et qui regardait par là, pétrifiée.
Les deux amies se regardèrent étonnée et fixèrent a leur tour Aoki.
Soudain le groupes des coureuses partirent pour les vestiaires.
Mitsuko tapotta les épaules des jeunes filles et signala qu'elle partait elle aussi.

Arrivé devant la porte des vestiaires elle attendit les bras croisés devant celui-ci, elle pouvait entendre des rires des filles gagnantes, et des insultes des autres.
Puis il devait se passer quelque chose puisque Mitsuko entendit des cris stridents.
Surement une de ces nombreuses batailles entre élèves de lycée adverse, elle allait se poser contre le mur d'en face lorsqu'elle entendit un cri aïgu ressemblant a celui de Aoki la première fois qu'elle c'était vue.
Mitsuko ouvrit la porte a la volé et manqua de se prendre un sac lancé par une élève de son lycée.
Les 4 autres se battaient avec les élèves du lycée Kashikoi, elle regarda de son regard noir où elle était, puis elle l'a vit tout au fond tentant de se protéger avec son sac, des jet insécents d'objet en tout genre.

Mitsuko fit claquer ses talons et les 2 premières filles vers l'entrée, s'arrêtèrent, les 2 autres filles du lycée gagnant aussi , étonnées. Les autres n'avaient pas encore remarqué et entendu. La jeune fille du lycée Warui s'apprêtait a lancé une chaise sur Aoki et une autre élève cachée derrière elle, Mitsuko d'une agilité de chat arriva entre les 3 élèves. La Warui d'une carrure impressionante, pâli a la vue de Mitsuko et laissa tomber la chaise de ses mains. Elle fit une révérence maladroite serrant ses mains contre son uniforme.

Mitsuko arriva vers elle a grand pas et la pris par les cheveux en la jetant par terre.
Elle posa son talons près de son visage, et de son oeil droit.

"La prochaine fois, ce sera ton oeil qui sera sour mon talon! Ne touche pas cette jeune fille, les autres je m'en tape ! Celle-ci est ma propriété, elle est sous ma protection, elle m'interesse, donc si tu la re-touche de tes mains sales, elles seront coupées, et tu sais comme je suis du genre a ne pas mentire dans ces moments là ! "

La jeune fille tremblait de tout son long, en effet tout le lycée était au courrant des combines et des choses horribles que Mitsuko pouvait faire, sauf ce qui concernait son enfance, personne ne savait ce qui c'était passé pour qu'elle devienne comme cela, et l'assassinat étrange de ses parents...
Les Warui sortirent en courrant. Les autres filles reculèrent vers la sortie, Aoki allait les suivrent discrètement, mais Mitsuko la retint, faisant signe aux autres de partirent.

"Tu allais me faire attendre encore combien de temps ! Petite peste !"

Elle lui griffa la joue, de son ongle, puis releva la tête de Aoki.

"Sortons quelque par, je m'ennuie ici, il y a un stand où il vende des boissons, je t'en achète une !"

Mitsuko était très maladroite pour montré qu'elle apréciait quelqu'un, ce qui était extrèmement rare...elle se retourna vers Aoki et sourrit, mais cette fois ci c'était un sourire chaleureux, et non effrayant.
Elle pris la main de Aoki et la fit sortir dans le couloire.

C'est en soupirant que Raijiku se leva,se lava et s'habilla ce matin.Il y avait aujourd'hui une compétition de natation opposant son lycée a celui de Warui,et Raijiku souhaitait tout sauf y aller.Il y aurait beaucoup de monde,qui plus est un ensemble mixte...Raijiku va s'y sentir très mal a l'aise.Il savait déja que quelque chose de négatif allait se passer.

Une fois être sorti de la salle de bain,il alla voir son maître de Tae Kwon Do a l'autre bout du domaine.Oui,son maître était riche et possédait un domaine.Il le trouva dans le Dojo.Il rendit d'abord hommage aux ancêtres en ravivant la flamme de l'autel situé en dessous de la photo,puis il s'agenouilla puis se baisa entièrement face a son maître,pour lui souhaiter le bonjour et lui montrer le respect et l'entier dévouement qu'il lui portait.Son Maître lui demanda de se releevr,il s'éxécuta.

"Raijiku.Tu as une compétition de natation aujourd'hui."
"Oui,maître."
"Je sens la peur monter dans ton coeur.Les ténèbres commencent a t'envahir...Ne les laisse pas prendre le dessus sur ta santé physique et mentale.Il faut que tu aies le même comportement que lorsque tu vas au lycée.Tu verras,le temps va finir par passer vite,et tu seras de retour a la maison plus vite que tu ne le croies.Tu comprends,Raijiku?"
"...Oui,maître."

Son maître s'approcha de lui et lui tapota l'épaule.

"Allez,vas-y,tu peux le faire.Dépêche toi tu vas être en retard."
"Je ne vous décevrais pas,maître.Puisse les dieux vous faire vivre éternellement."

Raijiku s'éxécuta de nouveau face aux ordres de son maître et se précipita a la sortie du domaine direction le lycée.

Plus tard il arriva avec sa classe dans la piscine municipale.Il y avait beaucoup de monde...Ca y est,Raijiku se sentait mal a l'aise.Après avoir enlevé ses habits dans les vestiaires et gardé son maillot de bain,il alla s'isoler derrière un mur,a la vue de personne,pour pratiquer des exercices de relaxation respiratoire.

C'est alors qu'il entendit une sorte de conflit entre deux filles.Discrètement,il tourna le regard sur le coté...Et assista a toute la scène entre Mitsuko et...Aoki ?!
Raijiku fronca les sourcils.Secrètement,il admirait complètement cette jeune fille qui était dans sa classe...Elle était étrangement tout le contraire du caractère de Raijiku,c'est a dire qu'elle avait beaucoup d'amis,souriait le plus possible,bref elle héritait d'un bien-être qui semblait permanent...
Cette répugnante Mitsuko était en train de l'agresser...Et l'on dirait bien que cette agression allait devenir sexuelle..Raijiku se prépara a réagir...Mais heureusement il n'eut pas a le faire,les filles étaient appelées au bassin.Raijiku se cacha pour que personne parmi elle ne le voient,puis il regarda Aoki s'éloigner fébrilement...La pauvre,méritait-elle ça ? Surement pas.Mitsuko,tot ou tard,aller payer de ses actes.

Raijiku se placa dans les tribunes et ne cessa de regarder Mitsuko et Aoki a tour de rôle.Il avait entendu ce qu'avait dit Mitsuko a Aoki,elle voulait la voir après l'épreuve...

Une fois que les filles aient fini l'épreuve et la victoire de Aoki,Tout le monde se diriga dans les vestiaires,l'épreuve était finie pour tout le monde.
Raijiku se dépêcha de s'habiller,et durant ce temps la ces peurs s'évanouirent...Puis il sortit rapidement et attendit que Mitsuko et Aoki sortirent des vestiaires.

C'est alors que la démone semblait toujours en vouloir a Aoki,et qu'elle la prenait par le bras direction les couloirs sombres...Raijiku intervint aussitôt.Il se précipita sur Mitsuko,et la plaqua contre le mur.Les jambes du jeune homme bloquaient celles de Mitsuko,et un des ses bras mettaient un de Mitsuko derrière elle avec une poigne d'acier.Son autre bras s'agrippa a la gorge de Mitsuko.

Raijiku avait ses yeux cachés par ses cheveux,mais Mitsuko pouvait tout de même voir qu'ils étaient noirs...Et sur lemoment très froids.D'un ton ferme il prit la parole,profitant qu'il n'y aiat encore personne dans le couloir:

" Sôma Mitsuko.Quand tu t'attaques a quelqu'un,assures-toi d'abord qu'il ne soit plus faible que toi.Pourquoi ne t'attaque-tu pas a quelqu'un de plus fort que toi pour voir ce que peut ressentir Aoki quelques instants ? Moi par exemple."

Il continua de la fixer avec son regard qui semblait de plus en plus maléfique tellement il était froid,la démone Mitsuko..

Puis il la quitta des yeux et plonga son regard devenu un peu plus tendre dans celui de Aoki.

"Ca va,Aoki? Tu n'a rien?"

Mitsuko ne devrait pas appeller a l'aide..Tous les élèves savient une chose...Raijiku ne parlait pas,mais il ne fallait pas lui parler non plus...Le menacer physiquement signifier se causer sa propre perte..Même en groupe..Raijiku l'avait déja prouvé.

Mitsuko rit aux élclat ! C'était la première fois depuis 2 ans que quelqu'un l'avait plaqué sauvagement contre un mur avec une autre attention que de violer. Elle regarda a tour de rôle Aoki et Raijiku, elle ne craignait pas vraiment la douleur et au contraire cela l'éxitait, dailleur elle sentait que des sécrétation sexuel commençait a couler le long de sa cuisse, elle ballada sa langue sur la lèvre le regard envoutant et fou.
Des élèves arrivèrent des deux lycées, tous parlèrent entre eux. L'un deux apparement de la même classe de Raijiku s'avança et tapota l'épaul de celui-ci hésitant.

""Raijiku...évite de faire ça, elle te le fera paiyer d'une manière ou d'une autre...cette femme est le diable en personne..un ami il y a deux ans a fait la même chose que toi et était extrèmement fort, il était élève de ton maître je crois...il s'est suicider deux jours après avoir blessé Mitsuko..il avait trouvé sa soeur crucifié a sa commode...""

Mitsuko regarda le jeune homme étonnée, puis regarda Raijiku.

"Je me souviens de cette histoire...écoute, Raijiku je crois, si tu veux protéjer Aoki il ne fallait pas agir comme ça...je vois que tu tiens a elle, Mr l'insociable, tu as de la chance, je tiens a elle aussi, elle m'intrigue..donc elle n'aura aucune punition, et toi...on verra par la suite."

Toujours bloqué et regarda Aoki puis lui sourrit.

"Tu sais, c'est la première fois de ma vie que je ne fais pas souffrire quelqu'un, du moins, je l'ai fait gentillement, le plus gentillement que je puisse faire..."

A ces mots Raijiku automatiquement serra l'emprise qu'il avait sur elle, elle hurla non de douleur mais de plaisir(il a mis son autre main pour bloquer l'autre bras de Mitsuko). Puis ses pupille se dilatèrent, et elle fit un sourrire plus qu'effrayant. L'élève près de Raijiku sursauta, des amies de Mitsuko allait l'aidé avec des camarades a elle mais Mitsuko claqua dans ses doigts.

"Ne vous mêlez pas de ça ! Laissez le faire, pour une fois que quelqu'un n'a pas peur de moi, je veux que cet instant dure assez lontemps. N'est ce pas..père....quand je te faisait plaisir...huhuhu"

Mitsuko avait une sorte de maladie psychologique, étant des fois skyzophrène, elle devenait extrèmement violent aux souvenirs qu'elle avait de son enfance...elle devenait en transe, doublée de force et d'instinc animal. D'un mouvement rapide et précis elle dégagea une de ses mains, elle passa son doitgs sur le visage de Raijiku, laissant, une entaille grâce a ses ongles.
Une élève Warui, une des proches amies de Mitsuko pris le bras de Raijiku qui était dégagé.

""Je sais que je vais le regretter..laisse la partir il lui faut ses comprimés maintenant, sinon tout ceux qui seront ici, mourront d'une façon ou du autre avant la fin de la semaine ou du mois ! Mitsuko...est maladive comem tu peux le voir...""

Mitsuko regarda Karen d'un regard noir et la gifla.

"Silence, je n'ai besoin de rien, laisse moi réglé ce...problème, seule ! Si tu continue je ferai en sorte que toute ta famille se suicide collectivement ! Alors arrête et va voir ailleur, fait en sorte que aucun professeurs viennent ici !"

Mitsuko tremblait de tout son long, elle allait bientôt faire sa crise, mais Karen savait que Mirsuko était sérieuse et partit en courrant, les larmes aux yeux tremblant comme une feuille. L'élève Kachikoi s'éloigna aussi, effrayé par Mitsuko qui avait ses yeux révulsés avec des veines rouges a l'interrieur.

"Aoki ! Je te paierai une boisson un autre jour, ou je te rendrai service ! Parceque...peut importe le pourquoi du comment !
Raiji-kun, que va tu me faire ? Pour que j'arrête de martyriser cette jeune fille....enfin nous n'avons pas la même conception du martyrisé...."

D'un saut elle dégagea ses deux jambes et les plaqua sur le mur, repoussant Raijiku de ses genoux, il lui tenait quand même toujours son poignet gauche.
Mitsuko soupira ..

"Tu m'a dit de m'attaquer a quelqu'un de plus fort pour voir ce que ressentait Aoki, oh mais j'ai vécut bien pire que ça...ce n'est que le quart du quart du quart...qu'elle a ressentie....et je ne tient pas qu'elle resente ce que j'ai ressentie dans mon enfance jusqu'à aujourd'hui ! Je sais qu'elle grande âme. Ne parle pas de quelque chose quand tu ne sais rien de la personne !"

Elle gifla Raijiku, sa tête se tourna au choc, elle avait une force plutôt important pour une fille mais pas assez pour causer une dommage quelqueconque a Raijiku.
Mitsuko s'était apparement calmé car ses yeux étaient redevenu normal, l'autre amie de Mitsuko était toujours là craignant le pire pour chacun d'entre eux. Elle s'avança et tira Mitsuko par le bras.

""Arrête, je t'en prie, on va avoir des ennuis ! Pense à la semaine prochaine, le voyage, on sera puni si on continue, et on pourra pas y aller...laisse les, ce n'est qu'une gamine comme une autre, pourquoi tu t'attache a elle ! Allez viens !""

Elle tirai Mitsuko par le bras, celle-ci fit un mouvement rapide du bras et dégagea l'emprise qu'elle avait sur elle.

"Laisse moi ! Va t'en ! Fiche moi la paix ! Je m'en tappe de ce voyage scolaire...aux sources, super que c'est bien ! Tu ne comprend pas...vous ne me comprennez pas, personne ne me comprend est ce clair ! Aoki me ressemble...je le sent, je me vois a travers elle..quand j'était encore pure et innocente..avant que mon beau père arrive et que ma mère sombre dans l'alcool me forçant à...peut importe ! Va rejoindre Karen ! Je vous rejoins plus tard..."

Elle s'éxécuta, sachant que Mitsuko n'aimait pas parler de son enfance...elle regarda une dernière fois Aoki étrangement avant de partir en courrant.
Mitsuko se retourna vers Aoki et baissa pour la première fois la tête a quelqu'un, elle sentait quelque chose de chaud près de son oeil, elle pris une profonde respiration et releva la tête avec un sourrire étrange.

""Raijiku...évite de faire ça, elle te le fera paiyer d'une manière ou d'une autre...cette femme est le diable en personne..un ami il y a deux ans a fait la même chose que toi et était extrèmement fort, il était élève de ton maître je crois...il s'est suicider deux jours après avoir blessé Mitsuko..il avait trouvé sa soeur crucifié a sa commode...""
"Je me souviens de cette histoire...écoute, Raijiku je crois, si tu veux protéjer Aoki il ne fallait pas agir comme ça...je vois que tu tiens a elle, Mr l'insociable, tu as de la chance, je tiens a elle aussi, elle m'intrigue..donc elle n'aura aucune punition, et toi...on verra par la suite."

Raijiku resta de marbre face a ces menaces.Il remarqua que quelque chose coulait le long de la cuisse de Mitsuko et le comportement étrange de celle-ci..Mais il la regarda,toujours froidement,et ne cessant l'action de son emprise sur elle.De toute façon il ne cherchait pas a lui faire mal,mais a l'empecher de faire quelque chose de mauvais en la bloquant.

"Une punition..Il ne me reste qu'une seule personne qui compte a mes yeux.Ma famille est décédée.Alors jamais Mitsuko ne pourra me faire du mal.

Que dis-tu? Je fais soufrir gentiment quelqu'un? Ta phrase n'a aucun sens."

Puis il écoutait les phrases de Mitsuko...Laissant penser qu'elle est..

"Folle...Ce que tu as vécu t'as profondément touché mentalement.."

Mais alors..Elle lui ressemblait dans un certain sens ?! Impossible..Raijiku écarquillait des yeux.Il n'en revenait pas..

Cette surprise lui valut un déaut de vigilance,Mitsuko finit par s'échapper de son étreinte et de le gifler..Bonpeut-être souhaitait-elle lui faire mal...Elle avait raté mais bon...Raijiku observait et écoutait chaque parcelle de son comportement.

Enfin,quand elle releva la tête une alrme a l'oeil,Raijiku répondit a tout son discours.

"Ce que je vais faire...Je vais faire en sorte que tu ne t'approche plus de Aoki.Cette jeune fille resplendissante,a qui la vie a offert de nombreuses vertues,n'a pas le droit de subir ce que toi et moi avons subi.Mais ce qui me pertube en ce moment,je dois l'admettre,c'est ton comportement..Je suis sur et certain que si tu avais apssé une enfance des plus heureuses,tu n'aurais pas ce caractère et ce trouble mental qui t'emprisonne,te forçant a avoir des relations quasi-inexistantes avec les autres..Tu te sens seule au monde,n'est-ce pas?"

Le ton de Raijiku était devenu calme,rassurant.Soudain il se rapprocha de Mitsuko.Celle-ci se prépara a se défendre,mais Raijiku porta juste ses lèvres a l'une des oreilles de la démone.Il chuchotta:

"Aide-moi a apprendre a te connaître.Fais comme moi,accroche-toi,ne songe plus au passé,tourne-toi vers l'avenir.Et alors toi et moi nous nous en sortirons."

Il se recula et fixa Mitsuko longuement dans les yeux.Puis il se tourna vers Aoki,s'approchant un peu d'elle.

"N'aie pas peur.Pardonne-la,elle ne sait pas comment il faut se faire des amis.Les dieux ne lui ont fait aucun cadeau durant sa vie.Cela se voit dans ses yeux.
As-tu besoin de quelque chose,Aoki?"

C'était la première fois que Raijiku s'adressait a quelqu'un de sa classe,et surtout a Aoki..

Mitsuko n'en revenait pas, pour la première fois de sa vie, elle se sentait comprise, mais quelque chose ne lui allait pas...

"Attend ! Si tu m'empêche de revoir Aoki je .... tuerai la seule personne qui compte a tes yeux "

Elle avait hésité a dire cela, elle savait que cela était atroce, pour la première fois, elle ne faisait plus semblant de ne pas ressentir de la douleur...
Elle s'approcha de Aoki et pris la main de celle-ci doucement, Raijiku allait l'empêcher de faire cela maisn il s'arrêta.

"Je te dois encore un service...donc je ne te ferai plus rien qui puisse te faire du mal, et là nous seront quitte. Je suis pas du genre a changer comme ça ! Ne croyez pas que vous m'avez mis dans votre poche ! Je serai et resterai la jeune fille horrible qui a planifié le meurtre de ses parents avec la plus grande exitation ! Je resterai la fille qui a été violé par son beau père dès l'âge de 9 ans , d'avoir été forcé a se prostitué dès l'âge de 8 ans pour payé les frais des consommation d'alcool de ma propre mère ! J'ai tué des gens et j'en suis fier, je m'en fiche, ce n'était que des pourritures !"

Elle s'avança a grand pas vers le mur et frappa un énorme coup dedans, quand elle bougea sa main elle fit une grimace, elle s'était un bleu, par chance.
Elle se retourna vers Aoki et Raijiku, il y a avait plus personne a part eux, heureusement car ce qu'il allait voir, personne ne l'avait vu.


"C'est trop tard pour que je change...je me sent seule et je l'ai choisit, j'éloigne déséspérement les gens de moi, car je sais que je les ferai souffir, mon beau père me la dit avant de mourrire...je suis et je resterai un virus pour l'humanité."

Elle se retourna et hurla, elle ne savait pas ce qu'il lui arrivait, quand elle se retourna elle n'avait plsu aucune larmes, elle avait de nouveau ce regard noir et effrayant, et ce sourire hautain.

Elle s'approcha de Raijiku et lui déposa un baiser sur la joue près des lèvres, et fit de même pour Aoki.

"Voilà, vous etes les deux personnes que je ne punirait pas , les seules et uniques ! Mais je peux toujours vous martyriser quand l'envie me prendra."

Elle pinça la joue de Aoki et giffla le plus fort possible, bien que encore faible..Raijiku.
Dans un soupire, discrètement et quasiment inodible, elle échappa un "merci".
Elle tourna les talons et commençait a partir vers le stand de buvette, les élèves commençaient a afflués de nouveau.

Raijiku la laissa parler et agir,c'est d'abord en hésitant qu'il le fit,mais finalement il prit confiance..Et il ne se passa pas grand chose,sauf une deuxième gifle,qui était de nouveau sensée faire mal.Raijiku la regarda s'éloigner,puis il baissa la tête,cachant son visage derrière ses cheveux.

"Je ne crois rien..A part le fait que je peux t'aider.

Tout ce qu'elle a vécu..C'est si horrible..Mais pourquoi s'obstine t-elle a rester dans le mal? Pourquoi ne songe-t-elle pas tenter de retrouver une vie normale? La blessure est-elle trop profonde? Est-il vraiment trop tard pour l'aider?

Non.Je ne lacherais pas l'affaire. Je suis convaincu qu'on peut la changer."

Puis il releva la tête et regarda Aoki,qui semblait complètement troublée,éffrondrée mentalement par tout ce qui venait de se passer.Pour la première fois de sa vie,Raijiku aurait voulu mieux connaître cette personne pour pouvoir la consoler et la prendre dans ses bras..Pleurer ne lui allait tellement pas..Mais il ne put que dire:

"Par contre,toi Aoki,tu n'as aps a changer.Au contraire,reste comme tu es.Profite au maximum des cadeaux que les dieux t'ont offert.

A présent,on ferait mieux d'y aller.Si tu as encore peur...Tu..Tu peux...Rester auprès de moi...Je te protègerais."

Raijiku venait de trembler en annonçant cela...Il avait soudainement très peur de la réaction de Aoki..Peut-être lui crirait-elle de la laisser tranquille,lui,le jeune homme sans-âme,qui fait peur,qui ne parle a personne d'ordinaire...
En tout cas ils devaient se dépecher,la classe allait partir sans eux...En effet ils étaient a présent seuls dans les vestiaires..

(on va peut-être laisser répondre Léa-chan maintenant ^^ Désolé Léa)

Aoki avait assisté à toute la scène, silencieuse et impuissante. Que faire quand la furie de deux être humains se combine pour ne former qu’un? Mais ce qui frappa le plus la jeune fille, c’était cette tendance qu’ils avaient à dire qu’absolument rien de fâcheux ne lui était arrivé dans sa propre vie… Certes, elle avait toujours ses parents… Mais que savaient ils des problèmes de santé u’elle avait eu étant plus jeune? Que savaient-ils de l’accident qu’elle avait eut à l’âge de neuf ans, qui avait tué sur le coup sa meilleure amie?

Rien. Pas la moindre information n’était parvenue aux oreilles de ses camarades, simplement parce qu’elle était discrète, réservée au sujet de sa vie privée, et qu’elle avait déjà réussi à tourner la page, à relever la tête.

Elle écouta les paroles de son camarade de classe, les yeux dans le vide. Sa jambe gauche tremblait imperceptiblement et elle serrait les dents pour ne pas gémir de douleur. Son genou la lançait affreusement depuis qu’elle avait forcé dessus lors du sprint final de sa course de relais. Et inspira profondément et releva la tête vers Raijiku, un petit sourire aux lèvres.

- Je n’ai pas peur, Satsuki-san. Tout va très bien pour moi.

Elle ramassa son sac de sport, le jeta sur son épaule droite, et commença à avancer le long du couloir tout en passant un doigt sur la griffure de Mitsuko… puis s’arrêta. Elle pivota pour observer Raijiku et pencha son buste en avant pour le saluer.

- Merci pour tout ce que tu as fait. Mais dis moi, pourquoi ne nous sommes nous jamais parlé auparavant? Nous sommes pourtant dans la même classe…

Elle resta là, stoïque, faisant le maximum pour ne pas s’appuyer sur son genou gauche et pour paraître la plus détendue et joyeuse possible.

Raijiku attendait de voir la réaction de Aoki,et quand il put l'observer il en resta fort surpris.Même...Admiratif..Les yeux s'écarquillaient.Comment arrivait-elle a retrouver sa force en si peu de temps ? Elle avait un courage transcendant toute épreuve..C'est sur,Aoki irait loin dans la vie..Sa force de coeur surpassait la force physique de Raijiku,il n'était rien a coté d'elle,et malgré qu'il s'imposait de taille par rapport a elle,il se sentait tout petit aux cotés d'elle.Elle était tout le contraire de lui..Raijiku se rendit compte qu'il souhaitait avoir tout ce qu'avait Aoki..C'est pour cela qu'elle le fascinait tant.

Elle lui posa une question,ce qui le réveilla de son émerveillement.Il baissa la tête pour cacher ses yeux tristes derrière ses cheveux.

"De rien,Daemo-sama.
Pour ce qui est de notre rencontre...Je pensais qu'en vérité me rencontrer ne t'aurais pas servi a grand chose.Personne n'a besoin de moi,et je n'ai besoin de personne.Tel est le destin que les dieux m'ont conferé.Ils ont choisi de me laisser seul.De plus,les médecins disent que je suis atteint d'agoraphobie,alors je n'arrive pas forcément a parler aux autres.La,nous sommes jsute deux,il n'y a pas de problème.Mais une fois dehors,avec tout le monde,je sais pas si je pourrais t'adresser la parole.Je ne veux pas que l'on me parle,que l'on cherche a me connaître,que l'on me pose un tas de questions qui ne les regardent pas...
Tu comprends,Daemo-sama ? C'est pour cela.Maintenant hâtons-nous,nous devons rentrer au lycée."

Raijiku marcha aux cotés de Aoki,se tenant a proximité d'elle pour la protéger des crises de Mitsuko a la sortie..

Mitsuko était quand a elle au stand des boissons et buvait du coca avec une zeste de vodka dedans, qu'elle avait rajouté.
Elle discutait avec Karen et d'autres élèves. Puis soudain elle vit sortir Raijiku et Aoki, elle allait partir vers eux et hurler le nom de Aoki mais se retint. Elle les regarda partir avec un drôle d'air et détourna le visage, juste au moment ou Karen faisait une demonstration de boxe. Ce fut assez rapide, Mitsuko se retrouva par terre a cause du coup de poing qu'elle venait de recevoir de son "amie. La tout se tu autour d'eux. Les jeux s'arrêtèrent ainsi que les discution, tous regardèrent ce qui allait se passer.
Karen restait pétrifiée les yeux ouvert tremblante. Elle voulut articuler quelque chose mais en vain...
Mitsuko se releva en frottant son manton. Elle leva la tête et regarda Karen. Toutes les amies reculèrent et Karen se retrouva seule face a Mitsuko.
La furie porta son ongle a sa bouche et mordilla son doigt. Puis vint son soupire habituel.
Elle fronça les sourcils et fit un regard intésément noir

qui déstabilisa Karen qui tomba sur les genoux les yeux en pleures.
Mitsuko passa sa langue que sa lèvre supérieure et fit craquer ses doigts, et donna un énorme coup de pied dans le ventre de Karen. Elle se dirigea vers celle-ci qui c'était retrouvé allongé par terre se tenant le ventre. Elle mis son talon au dessus du visage de la jeune fille qui hurla, un professeur arriva mais s'arrêta lorsqu'il vit que c'était encore Mitsuko, il soupira et ferma les yeux.
Un long cris vint briser de nouveau le silence, Mitsuko avait mis le talon de sa chaussure sur l'oreille de Karen qui saignait abondamment.

"La prochaine fois ce sera ton crâne ou tes yeux ! Ne t'avise plus de me toucher et encore moins de me parler car sinon...les membres de ta famille souffrirons !color]

Mitsuko pris son sac et aussitôt tout les autres élèves "ami(e)s" la suivirent sauf Karen qui était en train de se relever péniblement a l'aide du professeur.

[color=red]"Je me tire, j'en ai marre de cette fête ! Y a des limites a ma gentillesse !"

Elle mis son sac sur le dos et partit en faisant claqué ses talons, elle croisa sans aucuns regards les deux élèves Kachikoi(Raijiku et Aoki) et se dirigea vers une mercedes où un belle homme l'attendais, elle passa son main en dessous du manton de celui-ci et l'embrassa fougueusement, puis elle regarda ses amies d'un sourrire glaciale et satisfait.

"Qu'est ce qu'il est obéissant ! Allons y, retournons au lycée."

Elle monta dans la voiture en prenant soin de montrer ses jolies jambes a tout le monde.

Aoki écouta attentivement les paroles du jeune homme… Et elle apprit pourquoi il ne parlait à personne. Elle ressentit une immense peine envahir son cœur, car pour elle, la solitude était le pire des châtiments. Alors qu’elle marchait aux côtés de Raijiku, elle déclara sans le regarder :

- Rencontrer quelqu'un apporte toujours quelque chose, que se soit du bonheur ou une leçon…

Elle n’eut pas le temps d’en dire plus qu’un cri strident les arrêtèrent. Ils étaient à présent dehors, non loin du stand des boissons, et Mitsuko semblait une nouvelle fois très en colère… Le regard de cette jeune fille avait quelque chose de terrifiant, et Aoki se demandait si quelqu'un comme elle pouvait ressentir quoi que ce fut. Ils assistèrent à la scène, impuissants, tout comme les professeurs qui n’osaient pas même lever le petit doigt. La jeune athlète trouvait que tout cela frisait le ridicule…

Elle tourna la tête sans mot dire et s’engouffra dans les escaliers sombres qui menaient au métro. Au sous-sol, le couloir était sombre et étroit et empestait l’urine. Une seule lumière vacillante éclairait le plafond. Les lycéens avancèrent jusqu’au milieu du couloir désert, avant qu’une bande de trois garçons coiffés de crêtes colorés arrive au bout du corridor, l’air mauvais. Aoki tourna instinctivement la tête derrière elle pour repérer une issue, mais là aussi, trois autres jeunes, une filles et deux garçons, leurs barraient la route. L’un d’entre eux tenait une batte de base ball à la main…

Instinctivement, Aoki pressa le bras de Raijiku dans sa main et se rapprocha de lui. Celui qui avait l’air d’être le chef de la bande s’avança d’un pas, jonglant avec eux battes en fer… Ils avaient tous l’air réellement forts, même la fille qui arborait de larges biceps ainsi que des mollets épais.

Puis soudain, Aoki entendit une arme fendre l’air. Elle eut tout juste le temps de se baisser pour éviter la batte de l’un d’entre eux. Ils riaient aux éclats. Quand à Aoki, elle tremblait de peur, et de douleur dû à son genou…

Raijiku écouta la seule et unique phrase de réponse d'Aoki et il en resta...Sur les fesses pour être poli.Elle avait raison,c'était indéniable..Comment arrivait-elle a lui donner des explications a quelque chose auquel il n'avait pensé lui même ? Incroyable..Il avait l'impression d'entendre parler son maître..Plein de philosophie,et qui sait aprécier la vie a sa juste valeur...Raijiku n'aurait jamais pensé qu'il allait trouver une telle personne en cette matinée bizarre..

Il fut enlevé de ses pensées par la bagarre de Mitsuko...La pauvre,elle n'arrivait jamais a être en paix avec elle même et les autres..Comme Raijiku..

Il observa Mitsuko partir avec un jeune homme avant d'en rester indiférent et de suivre Aoki dans la voie de métro..Un tunnel peu accueillant d'ailleurs par son aspect..Et aussi pour les personnes qui s'y étaient logées...

Raijiku serra Aoki contre lui,derrière son dos.Soudain un des agressuers attaqua et Raijiku esquiva le coup facilement.Il tourna son regard vers Aoki et finir par la lacher.
" Je m'en occupe.N'ai pas peur,cela va être bientot fini."


Raijiku aperçut un autre coup de batte se diriger vers lui et il para le coup avec son bras...La batte en bois se fendit en deux!
Puis Raijiku étendit son bras qui se loga dans la machoire de l'agreseur.Il en tomba raide par terre.La puissance du coup donné était incroyable! Raijiku semblait avoir des muscles aussi durs que le métal.

Puis soudain,Raijiku se mit a sautiller sur place et a tenir ses poings en position d'attaque.Son Tae Kwon Do se réveillait en lui..

Il enchaina tous les agresseurs par des coups vifs de poings et de pieds.Ses jambes s'élevaient a des hauteurs folles,et il sut aussi faire des acrobaties pour rendre l'acte plus souple fluide et héroique..Enfin,quand tous les agresseurs étaient dans les vappes,aijiku se tourna vers Aoki en s'approchant d'elle:

"Peut-être devrions-nous utiliser autre chose que le métro comme moyen de locomotion.."

Une nouvelle fois, le jeune homme époustoufla Aoki. Elle jugea son Tae Kwon Do excellent et fut abasourdie par sa force de ses muscles, surtout lorsque la batte se cassa net sur son bras… La jeune fille se demandait toujours comment elle avait put ne jamais lui parler, elle qui était si ouverte.

A la fin du combat, il se tourna vers elle, légèrement essoufflé :

- Peut-être devrions-nous utiliser autre chose que le métro comme moyen de locomotion...

Aoki allait répondre, quand soudain, son genou lâcha. Elle se rattrapa de justesse grâce aux bras musclés de Raijiku, et ne put cacher son visage tordu par la douleur lancinante de sa jambe gauche.

- Je n’aurais pas dû courir comme une folle pour venir à la compètition ce matin… Surtout que Mitsuko m’a retardé… J’aurai même put l’éviter en marchant normalement.

Elle respirait bruyamment, s’accrochant désespérément au jeune homme, et jetant des regards inquiets vers leurs agresseurs qui étaient simplement sonnés.

- Je suis désolée de te causer des ennuis… Pour ce qui est du moyen de transport, je n’en ai pas d’autre que le métro, je ne peux pas me permettre de me rendre au lycée à pied dans cet état… Si tu veux, toi, tu le peux!

Elle se ressaisit et planta son regard dans celui du jeune homme.

- Je vois que tu t’inquiètes pour moi, mais j’ai l’habitude de ce genre de situation, alors ne t’en fais pas.

La jeune fille disait vrai. Son genou l’avait lâché un nombre incalculable de fois depuis son opération, et la douleur était devenue quotidienne. Cela ne l’avait pas empêché d’être l’une des meilleures coureuse de son équipe d’athlétisme. Un petit sourire crispé se dessina sur les lèvres de Aoki, pour montrer fièrement qu’elle n’avait sois disant pas mal…

Raijiku s'approcha de Aoki et heureusement puisqu'elle ne tarda pas a trébucher,Raijiku la ratrapa puis se demanda ce qui se passait,c'est alors qu'il vit son genou,puis Aoki lui expliqua ensuite,alors il comprit très vite.
Puis Aoki sembla vouloir s'excuser,Raijiku baissa les yeux,il n'était pas habitué que quelqu'un lui parle et s'excuse auprès de lui..Mais il répondit calmement:

"Non...Ne..Ne dis pas ça..Parce que..Pour fois je peux servir a quelqu'un..Alors si je epux encore regler des problèmes..Ce sera avec plaisir.

Très bien,alors je vais te suivre dans le métro.Je ne peux te laisser seule dans cet état."

Puis elle avoua qu'il ne fallait pas s'inquièter pour elle.Encore une fois Raijiku put admirer son courage..Mais c'était plus fort que lui.Cette jeune fille avait su le décoincer de sa bulle et le mettre en confiance par quelques petites phrases,il alalit donc a présent al suivre,et tenter ce que son maître lui a toujours conseillé..
Il aida Aoki mais en se restrictant un peu parfois pour ne pas la vexer dans sa fierté et ils prirent le métro.Raijiku s'assit et aida Aoki a en faire de même.

"Nous devrons passer par l'infirmerie en arrivant.Mais ensuite..Que..Que feras-tu ?"

Son regard baigné par ses cheveux se loga dans celui de Aoki.

Aujourd'hui pour la première fois de sa vie Shin'Ichi était partis en avance de chez lui, il avait une compétition de sauts de haie.
Comme d'habitude de nombreuses personnes l'avaient attendu, il fini 1er a sa course, il s'était entrainé sans relâche depuis plus d'un mois. Maintenant le fruit de son entrainement avait payé, et en plus il avait fait gagné son écolé. Il était heureux, avaec un sourire béa, il salua ses camarades et s'engouffra dans le métro, le sac sur l'épaul.

Il vit un groupe d'adolescent arriver a toute allure devant lui, et le bouscula dans le voir et sans lui dire merci. Il allait les poursuivre mais il vit un policier posté devant l'entré du métro, il se résigna et s'engouffra dans les dédales, a la recherche de la rame de métro le menant au lycée Kashikoi, oui Narimiya a un très mauvais sens de l'orientation...

Pour ne pas etre dérangé par de nombreuses "fan" il s'était mis une capuche sur la tête, en effet il était une idole, sans s'en rendre compte du jour au lendemain sa photo était parrut dans le journal dans la rubrique Idole, il n'en avait pas trop envie, de faire toutes ces choses stupide que font les idoles, mais son petit frère était si content qu'il accepta, et qui plus est il allait peut etre devenir enfin chanteur !

Il éternua se qui le sortit de son rêve. Il tourna a droite et rendra dans un homme grand et imposant. Il leva les yeux, malgré que sa capuche le gênait...l'homme était dans sa classe, et était accompagné de sa chouchou numéro 1 ! Il regarda a droite a gauche, et enleva sa capuche d'un air sérieux (il a pris l'habitude de prendre des poses sexy et de faire son play boy depuis l'âge de 13 ans...)

Puis il quitta son blouson.

Il relava la tête avec un sourire enfantin et les yeux remplie d'étoiles.
En effet il était loin d'etre comme ces idoles...il redevenait toujours lui même: 1 gaie luron.



"Aoki-chan ! Satsuki-san ! Je ne m'attendais pas a vous voir ici ! Je dois me cacher avec ma capuche ce n'est pas pratique..."

Il tapota l'épaule de Raijiku comme si il se connaissait depusi lontemps, il salua très chaleureusement Aoki avec un sourire radieux.

"Je peux vous accompagner, je suis un peu perdu, vous allez au lycée?"

Aoki arriva jusqu’à la rame de métro tant bien que mal. Elle faisait tout pour ne pas boiter et pour faire bonne figure face à Raijiku. Mais elle ne fut pas mécontente de s’accrocher à son bras de temps à autres… Ils s’assirent tous deux dans la rame du métro toujours aussi bondée attendant le départ de celui-ci.

- Nous devrons passer par l'infirmerie en arrivant. Mais ensuite… Que… Que feras-tu ?

La jeune fille releva doucement la tête vers Raijiku. Malgré le voile de cheveux qui lui masquait une partie de son joli visage, elle pouvait voir qu’il la regardait dans les yeux. Aoki ne put s’empêcher de sourire et de passer un doigt dans cette mèche de cheveux pour la relever quelque peu. Elle lui décrocha un large sourire et déclara, amusée :

- Ensuite? J’irai de nouveau en classe, tout comme toi Satsuki-san. Et pour ton déjeuner de demain tu n’auras pas à amener de bento car j’en préparerai un pour toi, pour te remercier de tout ce que tu as fait pour moi…

Et elle termina sa phrase par un petit clin d’œil malicieux.

Les portes de la rame étaient sur le point de se fermer quand un flot de passagers pénétrèrent dans le métro, poussant un jeune lycéen contre Raijiku. Il portait une veste à capuche par dessus son uniforme de lycéen, mais Aoki sût grâce au petit blason sur la poche de son pantalon, qu’il était du lycée Kashikoi. Ses doutes furent confirmés lorsque le garçon retira sa capuche. Ces yeux pétillants, ce large sourire éblouissant… Shin’ichi avait vraiment « la classe »!

- Aoki-chan ! Satsuki-san ! Je ne m'attendais pas a vous voir ici ! Je dois me cacher avec ma capuche ce n'est pas pratique...

Aoki ne put retenir un petit rire moqueur. Elle mit toute fois sa main devant sa bouche pour ne pas paraître impolie. Ils se saluèrent, et le garçon enchaîna :

- Je peux vous accompagner, je suis un peu perdu, vous allez au lycée?
- Non, non, Shin’ichi-kun. Nous comptions aller cueillir des pâquerettes comme tu peux le voir!

Et la jeune fille éclata d’un rire sonore devant l'air dubitatif du jeune homme. Elle avait l’habitude de taquiner ce jeune rêveur. Aucune méchanceté ne se cachait dans sa voix, mais plutôt une douce complicité.

- Sacré Shin’ichi-kun! Voilà trois ans que nous sommes dans le même lycée et tu trouves le moyen de te perdre…

Aoki hocha la tête de gauche à droite, le sourire toujours accroché aux lèvres et lança un regard en biais à Raijiku pour observer une nouvelle fois les traits harmonieux de son visage.

Après que Raijiku ai posé la question a Aoki,celle-ci se mit a le regarder en souriant et lui releva une mèche de cheveux..Pour mieux voir son visage semblait-il.Raijiku se sentait mal a l'aise,était-ce parce qu'elle le trouvait étrange qu'elle voulait mieux voir son visage ? Raijiku se mit a douter,et quand il doute,ses mains tremblent,et ses yeux s'écarquillent..Il se calma un peu quand il écouta Aoki lui répondre.En effet,il lui avait posé une question débile...Encore a cause de sa timidité,il s'en voulait déja..Mais ce qu'il retint,c'est que Aoki souhaitait lui faire son bento pour demain...Raijiku écarquilla de nouveau lesy yeux,mais pas trop car maintenant Aoki pouvait les voir...

"Euh..Et bien...D'accord.A...Arigato."

L'arrivée fracassante des autres preneurs de métro put laisser le temps a Raijiku de se passer le bras sur son front et de tenter de se calmer un peu.Mais les autres personnes qui venaient d'entrer l'angoissaient également a présent...

C'est alors qu'un jeune homme a capuche vint a leur rencontre,et quand il enleva sa capuche,Raijiku le reconnut,il s'agissait de Shin'Ichi,une sorte d'Idole au collège...

Il fit une petite tape sur l'épaule de Raijiku,mais celui se demandait bien ce qui leur prenait tous,tout a coup,de le prendre pour un ami,eux qui l'avaient reniés tout l'année,voila qu'ils voulaient s'en faire un ami en fin d'année..Illogique,donc énnervant pour Raijiku.Mais il tentait toujours de se calmer en pratiquant un exercice de relaxation respiratoire.Dans un soufle il répondit au nouveau venu:

"Yo,Narimya-san."

Il le regarda dans les yeux,mais ils étaients de nouveau cachés par ces cheveux.
Ensuite Raijiku écouta la conversation entre Aoki Et Shin'ichi sans rien dire.Il n'avait pas son mot a palcer dans une conversation qui ne les regardait qu'eux deux.Raijiku s'isolait petit a petit..

Tandis qu’elle observait discrètement le jeune homme, elle le vit se reculer de quelques centimètres pour se rapprocher de la vitre. Aoki se mordit la lèvre inférieur et son sourire s’envola. Elle se demandait si, en réalité, Raijiku ne préférait pas être seul. Elle ne dit absolument rien quand à sa réaction, car elle ne savait pas tellement comment intégrer le jeune homme dans une conversation commune.

Une voix grésillante annonça la fermeture des portes de la rame. La machine pris de la vitesse, et bientôt, tout le monde fut ballotté de gauche à droite par les petits mouvements latéraux du métro. Aoki pris son courage à deux mains et demanda :

- Alors, comment s’est passée la compétition pour vous deux ce matin? Notre école à fait de bons scores il parait…

Voilà un sujet qui devrait les intéresser tout les deux, étant donner qu’ils y avaient participé…

Narimiya de son sourire habituel allait répondre quand..


""Hiiiiiii c'est Shin'Ichi une des idoles montente du japon ! Si je t'assure !!!! Narimiya-kun !!!!!""

Le sourire enjoué de Shin s'envola et il fit des yeux de chien battut. Il fit un soupire et se retourna vers la jeune fille, d'un sourrire radieux et éclatant.

"Konnichiwa !Shin-ichi desu ! Euh...gomen, mais je suis occupé, je vous signerai plus tard des autographes mesdemoiselles."

D'un long cri de fan en furie elle retournèrent s'assoirent et envoyé a une vitesse folle des sms.
Il regarda Raijiku puis Aoki, et soupira de nouveau en se grattant la tête, d'un mouvement rapide il remit son blouson et sa capuche.

"Plus pratique, pour éviter de se faire importuner...même en classe j'ai du mal a approcher les gens qui m'intrigue sans être pris par d'autre personne a la volée...sinon, pour répondre a ta question Aoki-chan, j'ai gagné la course de saut de haie ! Et mon petit frère a sauté de joie, je suis content qu'il soit heureux !"

Il fit un sourire encore plsu radieux que les derniers, quand il parlait de son frère il devenait encore plus touchant et heureux, en réalité son frère avait une maladie, seule Aoki le savait, elle l'avais plus ou moins découvert...la maladie des os de verre, malgré les soins intensif sa maladie stagnait. L'enfant refusait pourtant le fauteuil roulant, et continuait a jouer avec les autres garçons risquant une grave fracture a tout moment.
Soudain quelqu'un se cogna contre Shin et il perdit l'équilibre, il se retrappa a la rampe près de Raijiku. Il parraissait très distant, Narimiya tapota encore sur l'épaule de celui-ci.

"ta compétition c'est bien passé ! Tu m'as l'air fort, mais tu es distant...il ne faut pas, c'est pas bon pour la santé, si tu as besoin de quelqu'un de gentil et de drôle demande a Aoki elle connait un mec très bien, il s'appel Shin'Ichi."

Il ris au éclat.

"Tu m'impression comme mec...un peu plus et je serait géné."

Il se tu et se cramponna a la rampe attendant la réponse du jeune homme

Raijiku les laissa finir leur petite discussion en observant d'un regard froid les jeunes filles qui s'étaient approchés d'eux,plus préccisément de Shin'ichi,et qui avaient fait leur crise d'histérie un peu exaspérante pour Raijiku.Le jeune homme se serait suicidé s'il avait eu une vie pareille,être obligé de se cacher des autres,au lieu de passer inaperçu tout court quand personne ne s'intéresse a soi...

Aoki finit par leur poser une question qui les concernait tous les deux,au sujet de la compétition de ce matin.Raijiku ne releva pas la remarque de Shin'ichi,il était gentil,sa remarque partait du bon sens,pas la peine de répondre froidement..Raijiku n'en dit rien et préfèra répondre a la question.

"Pour ma part,le sport par lequel j'ai été concerné durant la compétition était le judo.Je suis arivé premier."

Il avait dit cela d'un air neutre,comme si c'était normal,mais on voyait bien qu'il s'en moquait un peu,et que se la pèter était très loin d'être son genre.

Puis ensuite,Raijiku se tenta a un compliment..Certainement le premier sortant de sa bouche de sa vie..Il l'avoua en baissant la tête:

"Je..Je suis content que vous ayez réussi également."