Une rencontre préméditée (kira) [Saison 1]

Mitsuko qui trainait les pieds dans la cour du lycée s'ennuiait, puis elle se souvint que les professeurs avaient annoncé l'arrivée d'un nouveau surveillant, elle marcha vers l'entrée côté casier du lycée Warui.
Elle y déposa son sac et sortit une tenu de lycéenne plus que provocante... la jupe était vraiment très courte en haut des cuisses, et ouverte d'un côté jusqu'a la ceinture, le haut était très décolté laissant voir de jolie forme.

Elle se dirigea vers les toilettes des filles pour se changer. Elle entra, des jeunes filles étaient posées et fumaient tranquilement. Mitsuko marcha vers elle d'un pas assuré et pris la cigarette entre ses doigts. La jeune fille allait se plaindre mais quand elle vit que c'était Mitsuko elle se tut. L'adolescente jeta la cigarette aux toilettes. Elle soupira de nouveau et chassa les jeunes filles de ce lieu.
Mitsuko s'enferma dans un toilette, où il y avait mainte mainte dialogue, gravé ou écrit au feutre.
Tous pour la plus part parlant de sexe ou de problème de couples.
Mitsuko pris un peu de son temps précieux pour répondre a quelques questions qu'avait posée certaines a leurs amies surement.
Puis elle se décida a se changer, aussitôt deux jeunes filles, non un couple entrèrent dans les W.C.
Mitsuko ,qui n'avait enfilé que le haut , sortit exibant sa poitrine couverte d'un jolie soutiens gorge en dentelle noir brodé.
Les deux jeunes filles décolèrent leur lèvres surprise. Mitsuko haussa un sourcil et sourrit. Les deux jeunes filles étaient la classe voisine a la sienne mais elle les avaient déja repéré et savait qu'elle étaient lesbiennes. Celles-ci lorgnaient en rougissant sur le corps presque nue de Mitsuko.

"Bien que cela ne me gène guère, je vous pris de trouver un autre endroit pour vous "béquoter" je voudrai me changer tranquilement."

Elle échangèrent un regard et passèrent leur main derrière leur nuque et sourrire, elle s'escusèrent et sortir, elle savait qu'il ne vallait pas énérvé la jeune fille.
Mitsuko mis son haut et se maquilla puis sortit a son tour, elle put voir les filles, main dans la main, choisir un autre étage pour leurs petites affaires.
Mitsulo quand a elle resta au même étage et se prostra devant la salle des professeurs et surveillants, qui sortaient un par un étonnés de la voir et la dévisageant de la tête aux pieds, filles ou garçons, avec un sourire pervers...
Rare les fois où elle restait aussi lontemps dans le lycée mais elle était curieuse de savoir a quoi ressemblait le nouveau surveillant...deux de ses "amies" lui avaient dit qu'il ressemblait a un star japonaise de drama ou un chanteur, donc de grande beauté.
Cela faisait lontemps qu'elle n'avait pas fait l'amour et était plusqu'en manque...elle décida donc de le draguer juste pour "tirer son coup", "une histoire d'un soir" comme toutes les fois.
Cela faisait déja 2 surveillant qui étaient passé depuis le 1er, un homme et une femme, tout deux lui avait dit de faire attention aux tenues qu'elle portaient, même si il regardait plus ses jambes ou son décolté que son visage.

*Il en met du temps, il est encore avec le directeur..je l'entend parler, il a une jolie voix grave, hate de l'entendre en mode "râle"...bon je hais attendre...*

Elle se glissa derrière la porte et regarda dans la cerrure, un magnifique jeune homme était en train de sourire au directeur qui était debout.

Il était presque en face de la porte. Cheveux brun et regard mystérieux, tout ce qu'aimait Mitsuko et assez grand. Elle le dévisagea puis le regarda de la tête aux pieds.

Elle retourna contre le mur en face de la porte car un professeur arrivait pour ouvrir la porte de l'interrieur de la salle.

Ainsi, c’était encore une nouvelle vie qui commençait pour Kira. Le gouvernement lui avait offert un petit loft en centre ville, à proximité de son nouveau travail… temporaire. Finie, la vie de vagabond sur les routes, bien qu’il renouerait sans doute avec cette existence une fois le programme fini. Il n’aurait su dire s’il regrettait ce rythme de vie. Il n’était pas un sédentaire, mais au fond, il s’en fichait un peu. Il savait s’adapter à toutes les situations, qu’elles lui soient favorables ou pas. Et cette fois, les choses se présentaient plutôt bien : on lui servait sur un plateau d’argent, en toute impunité, de nouvelles victimes.

De toute façon, ce genre de considérations n’était pas très important. Aujourd’hui, c’était son premier jour en temps que surveillant au lycée Warui. Ce n’était que l’histoire de quelques jours, cependant il tenait à remplir son rôle avec sérieux, comme à chaque fois qu’on lui confiait une tâche. De plus, de cette phase d’observation découlerait sans doute le degré de facilité du programme. « Connait toi toi-même » est une belle maxime, mais connaître ses ennemis est encore plus essentiel. Donc il devait faire bonne impression auprès du proviseur. Il choisir un costume sobre et élégant, juste ce qu’il fallait : chemise blanche, veste et pantalon noir. Classique et efficace en somme. Il arriva avec cinq minutes d’avance aussi : encore un détail qui avait toute son importance lors d’une première rencontre.

Le proviseur, un homme dans la quarantaine à l’air strict et légèrement désabusé, lui avait tenu la jambe plus d’une heure. Il était immédiatement tombé « sous le charme » d’un jeune homme qui présentait aussi bien, et qui avait l’air si motivé par ce travail. Parce que vous comprenez, monsieur, les gens proposés pour les postes dans ce lycée sont si rarement qualifié pour le type de poste proposé… Ce n’est pas un lycée facile, les lycéens ont besoin d’un modèle etc… Tout ce beau discours plus la visite presque complète des bâtiments de l’administration, sans oublier le thé dans le bureau du proviseur, avait duré bien plus longtemps que ce que Kira avait prévu. Qu’importe, il continuait à afficher un sourire de circonstance et à ponctuer poliment le monologue du pauvre homme.

Enfin, le téléphone sonna et une secrétaire appela le proviseur, précisant que c’était « vraiment urgent ». Le responsable du lycée se retira donc en faisant promettre à Kira qu’il repasserait le voir. Celui-ci était tout de même fatigué de tout cela, et il était bien content à l’idée de sortir de ces locaux qui puaient le cigare bon marché, même si c’était pour aller travailler. Il ouvrit donc la porte, libérant ses zygomatiques endoloris du sourire conservé trop longtemps, son visage devenant, selon le point de vue, assez inexpressif ou terriblement mystérieux.

A peine sorti, il remarqua une jeune fille fort courtement vêtue assise contre le mur. Après l’avoir jaugé rapidement d’un regard dépourvu de désir, il se planta juste au dessus d’elle. De là où il était, il avait une vue plongeante sur son décolleté plongeant qui ne cachait rien des formes généreuses de la jeune fille. Pourtant, c’est dans les yeux qu’il la regarda quand il s’adressa à elle.

« Mademoiselle, les couloirs ne sont pas faits pour s’assoir. Vous avez des bancs dans la cour pour ça. »

[M.Furnon, sortez de ce coooooorps XD]

La jeune fille le vit arriver et ne s'attendit pas a ce genre de réaction de sa part..elle en resta un moment "sous le choc". Puis elle cligna des yeux comme pour se réveiller et fit un sourire quelque peut inquiêtant, elle plongea encore plus son regard dans celui de Kira. Les deux êtes mystérieux qui se ressemblaient sans le savoir restèrent dans cette position encore quelques secondes.

Mitsuko se releva montrant ses jolies hanches puis s'approcha de l'homme qui ne bougeait pas d'un poil toujours cet air étrangegement pertubant. Elle fit un regard noir, personne ne l'avait encore regarder de la sorte et personne ne l'avait autant pertubé, cela l'énervait et l'amusait à la fois.
Elle le gifla ongles sortit, une griffure apparut suivit d'un légé flot de sang sur le visage du jeune homme le regard impassible. Elle se mordit la lèvres le regard colérique.

"Je m'assoie où je veux ! Et quand je le veux, ici tout le monde le sait, si vous me chercher vous risquez de disparaitre de cette terre sans que personnes ne le devine...les êtres vivants son des poupées si fragile...un coup de pelle, de pieux, de révolver et opla au paradis ! Paradis mon oeil, l'enfer serait plus approprié...dans tout les cas Mr le surveillant ne croyez pas que je suis une "marie couche toi là"."

Elle fronça les sourcils et fit un sourire psycopathe.
Deux surveillant arrivèrent et éclatèrent de rire.

""Alors Sôma ont bizut le nouveau surveillant? Ne l'embête pas trop trop ma belle!""

Son visage d'ange se crispa et changea en un visage de démon, elle se retourna vers eux et fit un magnifique signe que même les sourds pouvaient comprendre, un beau "fuck".

"Pour des personnes qui ont coucher avec moi vous etes bien bruyante, pire que le placard dans lequel nous étions ! Taisez-vous mizérable!"

Ils se liquifièrent sur place, et partirent comme si de rien était, plaçant quelques fois des regards en biés vers elle et Kira.
Elle se retourna vers le jeune homme mystérieux.

"Vous voulez faire un tour dans le placard aussi?Je m'ennui. Le mot "sexe" ne vous dit rien...parceque pour etre aussi frigide je me demande, mais si vous le souhaitez je suis partante a condition que vous soyez un peu plus respectueux envers moi, les autres ne compte pas ce sont des cafards difficiles a tuer se reproduisant a une vitesse folle...berk. Mais ne croyez pas que je suis si docile, vous m'intriguez c'est tout..."

En disant cela elle s'était tellement approcher de l'homme que sa poitrine rencontra le torse du jeune homme.

Kira ne cilla pas sous le regard pourtant meurtrier de Mitsuko. Il lui en fallait plus pour briser son masque d’indifférence une fois qu’il avait décidé de le mettre. Il ne réagit pas beaucoup plus à la gifle qui lui érafla la joue. La plaie picotait légèrement, il faudrait qu’il pense à la désinfecter. Il essuya simplement les quelques gouttes de sang qui perlaient du dos de sa main avant de la nettoyer d’un coup de langue. Il se demanda vaguement pourquoi elle se défendait d’être une « marie couche-toi-là » de manière aussi virulente, mais cette question disparut aussi vite qu’un nuage importun dans un ciel bleu azur. Qu’elle couche ou pas avec tout ce qui passe, il ne se sentait pas vraiment concerné. Ou alors elle pensait qu’il la draguait ? Vraiment, cette fille avait de drôles d’idées.

C’est à ce moment que deux des nouveaux collègues – de pauvres types tout juste contents de pouvoir jouer les petits chefs d’après une première estimation de Kira – arrivèrent pour jouer les preux chevaliers. Oh, alors il devait jouer la princesse en détresse ? S’ils y tenaient, mais qu’ils ne comptent pas sur lui pour la robe d’époque ou le kimono traditionnel. Enfin, il aurait tout aussi bien pu se débrouiller tout seul, cette fille n’était pas non plus « dangereuse »… Pourquoi ? Parce qu’il l’avait décidé ! A moins qu’elle n’ait empoisonné ses ongles, mais l’hypothèse était peu probable. Le temps qu’il échafaude ses théories, et « Sôma » avait déjà mis en fuite les deux loosers. Pas une très grande perte.

Et voila qu’elle lui faisait des avances ! Kira ne put s’empêcher de lever un sourcil surpris. Cette fille manquait de cohérence, c’était net… Elle couchait donc effectivement avec tous les représentants de la gent masculine de cette école ? Ah, c’est pour cela qu’elle lui faisait du rentre dedans : il était nouveau, et par conséquent elle voulait être le première à l’ajouter à son tableau de chasse. Soit, les quelques jours qu’il allait passer dans cette école semblaient promettre pas mal de divertissements…

« Je me dois d’être respectueux envers les élèves qui sont sous ma charge, Sôma-san. Je suis d’accord avec vous, ces êtres qui abusent de leur position pour profiter de mineures telles que vous sont des cloportes, j’ai d’ailleurs du mal à me retenir de les écraser. »

Ses paroles semblaient être celles d’un surveillant normal, soucieux de son devoir et tenant à respecter le règlement stipulant que les relations entre les élèves et le personnel de l’établissement sont absolument prohibées. C’est en tout cas ce que son esprit pensait, quelque part. Seulement ses actes n’étaient pas en adéquation avec ses paroles. Un mince sourire, légèrement inquiétant, presque prédateur, étirait ses lèvres. Doucement, il saisit une mèche de cheveux de la jeune femme entre ses doigts.

« C’est pour cela que je me dois de refuser votre invitation à… copuler dans un placard. Ainsi, je vous intrigue ? Je prends cela comme un compliment, et je vous en remercie. Mais vous devriez surveiller vos paroles, elles laissent penser que vous êtes effectivement ce genre de fille facile. Ne sous-estimez pas vos propres mots, choisissez-les aves plus de soin. Je suis sûr qu’il y a de meilleures manières de tuer l’ennui. »

Pendant qu’il parlait, sa main était lentement redescendue le long du corps de l’étudiante, effleurant à peine sa généreuse poitrine toujours collée à lui. Ils étaient proches, bien trop pour que cela ne paraisse pas suspect si quelqu’un les surprenait. Mais visiblement, tout le monde s’en fichait aussi. Kira maintenait donc cette distance plus que rapprochée, de manière à ce que chacun puisse sentir le souffle de l’autre quand ils parlaient. Et sa main, comme animée d’une volonté propre, continuait sa course, frôlant avec douceur la cuisse de Mitsuko à travers la fente qui ouvrait sa jupe. Visiblement, cette zone du corps de la jeune femme lui plaisait bien, puisque la main stoppa là sa descente et commença à remonter vers la hanche, l’effleurement devenant caresse plus évocatrice des réels désirs d’un homme qui était tout sauf frigide.

Mitsuko était captivé par sa belle voix, limite elle tomberait amoureuse..vous y avait cru? pauvre naïf.
Dans tout les cas, elle sentit la main du professeur limite dans son entre jambe, elle rougit et se pinça la lèvre inférieure, en laissant échapper un petit soufflement de plaisir.
Des élèves passaient et regardaient ce drôle de couples, mais les regards noirs que faisait Mitsuko les faisaient fuirent.

Elle passa ses mains sur les épaules du jeunes hommes et les caressa doucement, rare pour une fuire comme elle, puis ses mains se séparèrent une monta se mettre derrière le coup du jeune homme l'autre descendit vers l'entre jambe de celui-ci.
Elle le regarda dans les yeux avec un sourrire et un regard vorace.

"On devrait trouver un endroit...pourquoi pas une salle de classe, c'est plus simple ! Et je réfléchit a mes propos, je m'habitu a n'importe qu'elle situation"

Elle glissa légèrement sur le côté et ouvrit la salle la plus proche, vide, elle eut un sourire triomphant et rentra dans la salle en tirant la main de Kira.

"Je sais que tu toi de dire, c'est que dans le ventre tout ce que dit Mitsuko, mais quand tu me connaitra mieux, tu verra que je suis loin d'etre un ange...plutôt une morte vivante, ou une démone, peut etre les deux qui c'est..j'ai tué tellement de gens..y compris mes parents, que maintenant moi et les rapports amicaux ou sociaux, je m'en sert juste quand j'en ai besoin. Exemple là, j'ai besoin de sexe et vous, vous m'attirez."

Elle s'allongea sur la chaise enlevant doucement sa culotte on pouvait déja voir un liquide blanc s'échapper de celle-ci..

La main de Kira, de plus en plus hardie, commençait à s’aventurer de plus en plus loin en terrain inconnu, se rapprochant méthodiquement de l’entrejambe de Mitsuko. Elle interrompit sa conquête au premier soupir de plaisir de la jeune fille. Le sourire du surveillant s’étira imperceptiblement : la chasseuse était finalement en train de devenir une proie bien docile. Oh, le jeune homme ne se faisait pas la moindre illusion : elle se montrait coopérative uniquement parce que c’était ce qu’elle voulait. Mais quelle importance, du moment que cela satisfaisait également ses propres désirs ?

En parlant de désir, Mitsuko savait parfaitement donner envie d’elle, et ses mains étaient des plus agiles quand il s’agissait de titiller les points faibles masculins, l’échantillon dont avait disposé Kira le rendait largement capable de l’affirmer. C’est en grande partie pour cette raison qu’il se laissa entrainer dans une salle de classe vide sans rien dire. Il avait dit qu’il devait refuser, mais il n’avait pas dit du tout qu’il allait effectivement le faire après tout.

A peine seule, Mitsuko commença à se laisser aller à des confessions sur son passé, qui avait l’air particulièrement lourd d’ailleurs. Mais quel élève ici pouvait se vanter d’une vie sans tâche, d’un parcours sans erreurs ? Tout en disant cela, elle avait pris une pose lascive plus que suggestive, assise sur une chaise tout en retirant ses sous-vêtements. Voulait-elle vraiment qu’il lui saute dessus comme une bête sauvage, qu’il la baise sans plus de cérémonie ? Pourtant, elle avait dit vouloir être traitée avec plus de respect. Kira commençait à comprendre. Surtout, il tenait à lui donner ce qu’elle désirait. Une relation sexuelle sans plaisir partagé perdait tout de suite de l’intérêt, même aux yeux de Kira. Après avoir verrouillée la porte, il s’approcha donc de la jeune fille tout en parlant.

« Si tu étais un ange, je ne crois pas que tu serais actuellement dans ce genre de position… répréhensible, n’est-ce pas ? De toute façon, que tu viennes d’un paradis artificiel ou d’un enfer brûlant n’a pas une grande influence sur ce que nous allons faire maintenant, il me semble. »

D’ailleurs, elle ne s’était pas demandée qui était Kira, et il était loin d’être un saint lui aussi. Cependant, il ne commettrait pas l’imprudence de se confier à la première inconnue. Le passé peut être une arme redoutable.

« En tout cas, je vais m’efforcer d’exaucer tes désirs, hime »

Comme s’il avait affaire à une poupée de porcelaine, il la prit par la taille et la souleva sans effort pour la reposer sur une table. Ainsi, elle serait plus à sa hauteur le moment venu. En attendant, il captura ses lèvres, laissant sa langue aller jouer dans la bouche de l’étudiante, pendant que ses mains s’occupaient de la délester sa jupe avec savoir-faire.