Un nouveau terrain de jeux[saison1]

Mitsuko Sôma partit dans les trois premiers, elle croisa quelques personnes qui prirent la fuitent aussitôt.
Pour l'instant, son but n'était pas de tuer qui que ce soit, elle c'était amusé devant l'entrée à faire tourner une pièce, pile elle jouait, face elle se rebellait, malheureusement pour les élèves, c'était pile, donc elle jouait.

Mitsuko regarda tout d'abord sa carte, le plus important était les munitions de survie, et après elle prendrai les paquetage des élèves morts.
Elle vit avec soulagement une infirmerie, elle s'y précipita sans armes à la main.
Quand elle fut dedans et qu'elle eut installé des pièges d'une porter de 3 mètres.
[Des files reliés à des boites de conservent faisant un grand bruits quand on marche dessus.]
Elle s'accroupie et pris tout les médicaments nécessaires, des bandages, aspirines, tampons (hé oui pas de chance, elle a ses règles), préservatifs (ça peut toujours servir, vu que tout les coups sont permis), et quelques autres trucs pas trop encombrant.

Au bout d'un moment elle s'assit sur une chaise et regarda dans son sac...
- Une lampe de poche contenant deux piles de type LR6
- Une montre à quartz
- Trois miches de pain
- Trois bouteilles d’eau de source de 1,5L
- Une petite boussole
- Une carte en couleur de l’air de jeu
- Un crayon à papier HB
- et une arme...
Elle eut un large sourire sadique, lorsqu'elle aperçut l'arme, parfait pour se genre de jeux, bien à distance...elle rigola intérieurement...toutes les personnes qu'elle allait maintenant croiser, allaient périr d'une balle ou de plusieurs.
Avant de partir elle commença à fouiller toute la bâtisse.

"Bon, il me faut des vivres... de l'eau aussi, vérifions que l'eau du robinet marche...non, ça m'aurait étonné, et aucune tonalité du côté des telephones, j'ai mon portable mais je préfère je laisser éteint, ce bouffon de Jikkei serait capable de nous appeler, il sait tout sur nous...ah! Une salle de bain."

Elle s'engoufra dans la douche et pris son arme avec elle qu'elle coinça à l'aide d'un gros élastique, qui sert normalement au prise de sang, autour de sa cuisse.
Elle se leva les sens toujours en alerte. Puis sortit et changea d'uniformes, plus discrèt et pratique pour courire. Sa fièvre était tombé. Elle s'installa dans un coin avec toutes es affaires, en ayant pris soin de ne pas laisser de traces de son passage, et commença à chercher à manger dans l'infirmerie.

Chieko était restée extrêmement concentrée sur la télévision depuis le début de l’appel. Plus particulièrement, sur les lèvres de Oneesan, dans l’espoir de reconnaître son nom lorsqu’elle l’appellerai. Heureusement pour elle, la présentatrice articulait particulièrement bien. Elle avança vers la porte et elle reçu deux paquetages en plein dans l’estomac, ce qui la fit dévier sur le côté. Un simple regard de Jikkei lui suffit à la rappeler à l’ordre. Elle jeta un dernier regard sur les corps mutilés de Fumiyo et Kirito puis se remémora un instant le visage couvert de sang de Satoru. D’après ce qu’elle avait compris, Kirito et Satoru avaient été amants. Elle se mettait parfaitement à la place du jeune homme et imaginait le corps de Raijiku à la place de celui de Kirito. La douleur qu’il avait dû ressentir devait dépasser l’entendement.

Elle avait hésiter un instant à retirer le poignard fiché dans le front de Fumiyo, mais avait renoncé de peur de se faire tuer par le bon vouloir de Jikkei ou d’Oneesan. Ce qu’elle regretta, à peine franchi le seuil de la classe. Le couloir n’était pas éclairé. Seuls les plafonniers de la salle de classe jetaient une flaque de lumière sur quelques lames de parquet. Parvenu rapidement au bout du couloir, la jeune fille passa la porte à deux battants et descendit le perron de trois ou quatre marches. Une pluie glaciale l’assailli aussitôt. Sans regarder sa carte, elle se mit à courir. Mais où aller? Pas le temps de juger des avantages et des inconvénients de chaque direction. Sans réfléchir, elle se dirigea vers les arbres qu’elle avait repérer en premier, droit devant. Mieux valait ne pas traîner dans le coin. De plus, zone allait devenir interdite sous peu si elle en croyait les informations données par Oneesan.

Après s’être enfoncée dans la forêt, elle fit une pause entre gros arbres et broussailles. Au sol, des sortes de fougères formaient un tapis. Elle posa ses deux sac sur le sol et les ouvrit pour en constater le contenu et fut très étonnée de trouver deux bonnes armes. Une arme à feu et une dague. Elle observa un peu mieux l’arme à feu : c’était un mini UZI à recharge automatique, et les balles qui étaient fournies avec étaient des Luger/Parabellum de 9x19 millimètres. De quoi abattre un homme même à cent mètres de distance. Autrement dit, une arme excellente, voir redoutable. Elle se dépêcha de ranger le tout dans un seul et même sac et de tout transvaser dans ce même sac pour ne pas s’encombrer du second. Elle se releva et continua sa course en direction du sud-ouest.

Elle progressa au milieu des buisson trempés, puis se trouva dans un endroit un peu moins luxuriant. Là, planté au milieu d’une petite clairière, un petit bâtiment à l’air lugubre se détachait étrangement sur le ciel noir d’encre. Il avait des allures de temple bouddhiste, ce qui rassura quelque part la jeune fille. Elle s’avança prudemment dans la zone découverte, l’arme au poing, et passa la porte d’entrée.
Là, tout se passa au ralentit comme dans un rêve. Elle se pris les pieds dans une barrière de fils tendus et tomba en avant, la tête la première. Ses mains se crispèrent et elle appuya sur la détente de l’UZI malgré elle. Une rafale d’une dizaine de balles alla trouer l’une des porte de la bâtisse. Chieko poussa un hurlement. Le recul du coup de feu l’avait projeté plus violemment encore contre le planché de l’infirmerie et son arme sauta de sa main pour terminer sa course sous un meuble de l’entrée.
La jeune fille rempa aussitôt jusqu’au meuble et récupéra son arme avec l’adresse d’un félin avant de reculer contre le mur le plus sombre, les jambes repliées sous sa jupe d’uniforme, la respiration haletante.

Mitsuko qui était retournée dans la salle de bain se rinçer le visage sursauta lorsqu'elle entendit le raffut à l'étage d'en dessous. Comme une féline elle sortit son arme et passa la tête au dehors de la salle de bain. Même avec des talons, elle ne faisait aucun bruit.
Elle descendit l'escalier avec un pas légé et assuré. La porte de l'entrée se trouvait dans la salle sur sa droite, elle était ouverte.

Fronçant les sourcils et resserant l'emprise qu'elle avait sur son arme elle avança le plus rapidement possible sans bruits.
Elle apperçut une jambe près d'un mur sombre, son coeur commençait à battre la chamade, pourtant elle avait déha tué des gens et s'était déja retrouvée dans des situations bien plus effrayante...mais là, ce n'était pas son objectif premier de tuer quelqu'un, elle devait faire encore quelques chose...

Coller comme une espionne contre le mur face à l'escalier, elle essayait de réfléchir, comment atteindre le derrière de l'amoire sans être canardée, la jeune fille avait une arme...et elle avait la détente facile.
Elle respira un grand coup et sortit en trombe de sa cachette pius fit une roulade en avant et attérie derrière l'armoir comme prévue, l'arme pointé sur la jeune fille, avec un regard sombre.
Elle sursauta autant que Chieko lorsqu'elle la reconnue.

"Chi...Chieko ? Tu m'as fait peur..."

Elle baissa son arme et la rangea dans l'étuit.
Elle n'osa pas approché, pas tout de suite, la jeune fille tremblait de tout son long.

"J'ai rangé mon arme, ne tire pas! Tu es toute seule? Raijiku n'est pas avec toi? C'est dommage... j'était à l'étage en train de me rinçer le visage, j'ai trouvé quelques canettes à boire et un petit frigo mais il n'y avait pas grand chose comme nourriture, je vais devoir en chercher ailleur."

Elle avait la moitiée de la tête en dehors de sa cachette, son regard dévisagea la jeune fille et fini sa course sur l'arme qu'elle avait.

*Un automatique, elle dégainera plus rapidement que moi, le mien n'est que semi... j'ai plus l'habitude des armes à feu, mais vu qu'elle est stressé le moindre faux mouvement me serait fatal... il faut que je gagne sa confiance, comme ça je n'aurait pas besoin de...*

Soudain une grimace apparut sur son visage, elle se pinça les lèvre et fronça les sourcils.

"Chieko! Tu aurais pu éviter de tirer comme ça stupidement! Maintenant nous sommes toutes les deux des cibles faciles! Il faut fermé la porte et les rideaux, et remettre le piège que j'avais installé...et surtout partir d'ici le plus rapidement possible!"

Mitsuko avait le don de s'habituer à n'importe qu'elle environnement, et apprenait très vite les tâches nécessaires pour la survie.
Tant pis elle devait sortir de sa cachette.
En levant doucement les bras elle avança vers la porte, toujours face à Chieko,le moindre mouvement suspect de sa part, et Mitsuko ferait une roulade ou quelque chose dans ce genre pour l'embrouiller, et tirerait ensuite.

"Je vais fermer la porte, toi ne tire pas, on est déja dans de sal drap à cause de ta détente facile! Le meilleur moyen de mourire ici, c'est perdre tout ses moyens!"

*Et aussi de faire confiance à certaines personnes..heureusement pour toi, je ne vais pas commencer le jeux tout de suite...*

Elle poussa la porte, qui ne fermait plus et allait retourner vers l'armoire. Son sac était au premier, ainsi que toutes les autres affaires. Chieko avait l'air totalement perdue, Mitsuko s'étonnait elle même d'être si... gentille et patiente.

"Chieko tu as faim? Tu es blème tu n'as pas l'air d'avoir mangé grand chose depuis que tu es partit de la salle."

Recroquevillée sur elle-même tel un enfant dans le ventre de sa mère, Chieko respirait bruyamment, les doigts tellement serrés sur la crosse de l’UZI que ses phalanges en devenaient blanches. Un mouvement furtif la fit sursauté. Elle crut que son cœur allait lâché. A cet instant, elle maudissait sa surdité qui la handicapait encore plus qu’à l’accoutumé. Elle pointa son arme en direction de l’armoire, les yeux écarquillés et reconnu l’une des jeunes filles qu’elle avait remarqué dans le bus scolaire. Elle ne la connaissait absolument pas, même de réputation, et ne savait même pas son nom.
C’est pourquoi elle fut vraiment surprise de la voir articuler son prénom, comme si elles étaient amies de longue date. Chieko n’abaissa pas son arme pour autant. Elle tremblait de tous ses membres et le remarqua à peine lorsque Mitsuko rangea son Smith et Wesson dans son étui. Elle se concentrait plutôt sur les lèvres pulpeuse de son adversaire et plus son discours s’allongeait, plus elle s’étonnait de voir à quelle point elle la connaissait… Même sa relation avec Raijiku… Cela ne fit que la stresser d’avantage.

- Chieko tu as faim? Tu es blême, tu n'as pas l'air d'avoir mangé grand chose depuis que tu es partit de la salle.

Mitsuko avait vu juste. Mais comment être sure qu’elle n’avait pas déjà tuer plusieurs personne et que l’une d’entre elle possédait du poison? Était-elle en train de l’amadouer pour mieux la tuer et récupérer son arme? Ou bien le jeu l’avait plutôt calmer et lui avait conféré une nature plus douce et gentille… Impossible. Cette dernière proposition n’était vraiment pas crédible aux yeux de Chieko.
Toujours prostrée dos au mur, l’arme au poing, Chieko ne s’adoucit pas face aux belles paroles de Mitsuko. L’UZI glissait de plus en plus dans ses mains moites et son index se resserrait sur la détente. Plus que quelques millimètres et une rafale de neuf balles allaient sortir de la bouche de son canon.
Trois… Deux… Un…
Un bruit de machine à écrire résonna dans le petit hall de l’infirmerie. Plusieurs balles partirent droit sur Mitsuko. Peut-être que la jeune fille aurait une chance de la blesser…

Mitsuko qui était toujours sur ses gardes, vit bien que Chieko était vraiment éffrayé et, lorsque le fusil commença a bouger dans ses mains, elle tourna les talons, fit une roulade au moment même ou les coups de feu furent tiré, grâce à sa roulade et à ses sens de félin, elle sortit de la maison en vie, elle allait se relever lorsqu'une douleur immense lui fit replier son genoux.
Elle était blessé, du moins égratignée..mais la plaie était quand même grosse dans son mollet gauche. Entre temps automatiquement elle avait sortit son arme.
Mitsuko, pas paniqué pour un sous, pris avec une vitesse affolante sa cravate et l'entoura autour de son mollet, puis elle se releva et fit bouger sa jambe pour voir l'ampleur des dégats.

*C'est bon ma jambe répond toujours aussi bien, malgré la douleur je peux la tuer...*

"Chieko! Tu es folle tu as faillit me tuer! Tant pis pour toi, je ne voulait pas commencer ce jeux tout de suite, mais là, quand ma vie est en jeux...malheureusement pour toi je compte bien rester en vie...je vais te tuer, et moi contrairement à toi, je te toucherai en pleine poitrine."

*J'ai de la chance grâce à mon expérience, et à ma faculté de m'habituer à n'importe qu'elle circonstance, j'ai des chances de la tuer...l'ennui c'est que son arme est plus rapide, bon j'ai chargé la mienne et une simple poussé sur la gachette et la balle par, l'arme est légère, et je ne tremble pas contrairement à elle. Ma jambe me fait mal, je la recouserai plus tard...si il y a un plus tard. Moi qui voulait me servir d'elle comme bouclier humain, tant pis, je vais me servir d'elle comme entrainement !*

Elle rentra en trombe dans la maison, elle refit une roulade pour atteindre sa cachette de départ, le derrière de l'armoire, à la fin de la roulade pour désemparer son adversaire elle tira, le plus précisement possible, droit sur le torse de la jeune fille, mais étant donné la rapidité de ses propres mouvements, peut être que Chieko avait une chance de s'en sortir.
Mitsuko quand à elle se précipita derrière l'armoire essouflée, serrant de sa main non occupé sa jambe, pendant que l'autre se préparait une nouvelle fois à tirer.

Chieko, dans la précipitation et l’affolement, avait fermé les yeux lorsqu’elle avait tiré sur Mitsuko. Lorsqu’elle les rouvrit, la jeune fille n’était plus là. Prenant son courage à deux mains, la lycéenne sortit quelque peu de sa cachette - qui n’en était pas vraiment une - et s’avança de quelques centimètres, les yeux écarquillés.
D’une manière étonnamment rapide, Mitsuko était déjà revenue à sa place initiale, derrière l’armoire. Chieko sursauta face à l’expression du visage de la jeune fille et n’eut pas le temps de réagir à temps : Mitsuko avait déjà appuyé sur la gâchette.

Le corps de Chieko bascula en arrière et sa tête entra violemment en contact avec le mur juste derrière elle. Un cri mêlé de terreur et de douleur s’échappa de sa gorge. Le creux de son dos rencontra enfin le plancher de la petite entrée mal éclairée. Le corps de la jeune fille recula sur plusieurs centimètres sans trop qu’elle sache pourquoi.
Elle s’immobilisa enfin. Cette petite chute lui sembla durer une éternité. Son cerveau se remit à fonctionner et elle voulu se relever aussitôt pour riposter, mais elle en fut incapable. Un flot de sang jaillit de sa bouche, et elle manqua de s’étouffer avec. Elle eut le réflexe de tourner la tête sur le côté pour laisser le liquide s’écouler et éviter d’encombrer ses voix respiratoires… Mais c’était bien de là que venait tout ce sang.

Elle se tordit le cou pour essayer de connaître la raison de cette impression de vide qu’elle ressentait au niveau des côtes, sur son flanc droit. Un large trou circulaire s’était formé à cet endroit précis. Plusieurs balles avaient traversé de part en part le buste de Chieko, donc celui-ci qui mettait à nu son poumon droit.
La pauvre victime tenta dans un effort considérable de rattraper son UZI pour achever Mitsuko. Elle savait qu’elle allait mourir, mais elle voulait porter un coup de grâce à son agresseur, quelque chose dont elle se souviendrait. Ses doigts se refermèrent sur la crosse du UZI, et Chieko leva le bras, prête à appuyer sur la gâchette.

Mitsuko se releva assez vite et passa la tête pour voir les dégats.
Chieko, au bord de la mort, versait un flou de sang de sa bouche, et so, poumon était bel et bien touché, la blessure n'était vraiment pas belle à voir, Mitsuko plissa les yeux par reflexe face à quelque chose d'ignoble mais ne perdit la face pour autant. Elle était toujours vivante et représentait toujours une menace.

Elle avança à grand pas vers la jeune fille, qui tentait déséspérement de reprednre l'arme à feu, elle l'avait pris dans ses faibles mains qui tremblait, mais Mitsuko était déja à sa hauteur, face à elle avaec un sourire sadique.

"Trop lente!"

Mitsuko appuia sur la gachette, elle était à une distance tellement près, qu'elle ne pouvait loupé Chieko, la balle alla se loger entre les deux yeux de la jeune fille qui avait appuier au même moment sur la gachette de son UZI, mais sa main avait tremblé et la balle était allé se loger dans le plafond, laissant une lègère marque sur la joue de Mitsuko qui se trouvait au dessus de sa victime.

Le calme revint très vite. Mitsuko passa sa main sur la blessure au visage, et se baissa pour prendre le fusil qui était fermement serré par la main de Chieko, Mitsuko dû s'y reprendre à deux fois pour l'enlever. Puis elle mis ce nouveau fusil dans sa ceinture improvisée, cela faisait deux armes à feu.
Elle se releva et regarda Chieko d'un air hautain.

"Pas mal pour un début...dommage pour toi, normalement je t'aurais laissé vivre un peu plus lontemps."

Mitsuko se dirigea vers la salle principale de l'infirmerie et sortit un bouteille d'alcool qu'elle versa sur sa plaie, elle eut une grimace de douleur, puis elle passa un sparadra et se releva.
Il fallauit partir d'ici, ce n'était plus un lieux prudent, et puis il fallait qu'elle trouve des vivres.
Elle se changea et pris ses affaires, elle regarda à droite à gauche et partit de la zone, tel une gazelle.

Le Phare Un début de jeu effrayant

Raijiku venait de quitter le phare,et partait a la recherche de Chieko.Il arpentait plusieurs zones en les fouillant a chaque fois au moindre recoin,pour tenter de retrouver sa chère Chieko,celle qui comptait plus que sa propre vie désormais pour lui...Par chance encore,il ne croisait encore personne.Etait-ce sinonyme de calme avant la tempête? Fort possible...

Le jeune homme était désormais proche de la zone de l'infirmerie.C'est alors qu'il écouta le rapport...Et lorsqu'il entendit le nom de la dernière personne tuée..Chieko...Ce fut la goutte d'eau qui fit tomber le vase,l'effondrement total,l'électrochoc...Jamais personne ne saura la douleur qu'éprouva Raijiku a ce moment la.Ses jambes ne purent plus le soutenir pendant quelques minutes,et son coeur s'enballait,et déja des larmes bouillonantes coulaient et brûlaient ses joues.Pris ensuite d'une sorte de rage,Il retrouva ses forces très rapidement,et courut a l'infirmerie.C'est la qu'il trouva le corps de Chieko,qui avait été tuée d'une balle entre les deux yeux,et auparavant blessée au ventre.

Raijiku s'écroula de nouveau juste devant son corps,et la prit dans ses bras en la serrant très fortement.Il ne retenait aucunement ses larmes et ses sanglots.Il prit la main frêle et désormais glacée de l pauvre Chieko,et la regarda dans les yeux une dernière fois:

"La dernière chose que je t'ai dit,c'est "ne t'inquiète pas,tout va bien se passer,je vais te retrouver".....
Gomen nasai,Chieko-chan.Je n'ai pas su retrouver assez vite celle qui comptait plus que ma propre vie a temps..Je serais désormais a jamais en manque d'une partie de moi,cette partie c'était toi,ma partie qui me racrochait a la vie.."

Il lui ferma les yeux,ce que l'assassin n'avait même pas prit la peine de faire.Ainsi ellle connaissait désormais le repos éternel.Puis Le jeune homme contempla le corps de sa défunte bien-aimée pour constater de quelles manière avait-elle été tuée..Son poing se serra a en saigner.Son visage,caché derrière ses cheveux,n'avaient jamais été ausi crispé de haine qu'a ce moment la.

"Celui ou celle qui t'a fait ça est un monstre..cette personne n'a même pas pris la peine de te tuer avec honneur,je n'ai jamais vu d'acte aussi barbare de toute ma vie.."

Raijiku se releva en portant Chieko dans ses bras.Il sortit de l'infirmerie et alla enterrer celle-ci dans un endroit fleuri,magnifique,a proximité de cette même infirmerie.

Une fois ceci fait,le processus s'enclenchait.La bête assoiffée de sang qui sommeillait en Raijiku commencait a se réveiller.A présent,il devenait un démon,petit a petit..

**Je vais te venger,Chieko-chan...Le monstre qui t'as tué portait une revolver,a en juger les douilles laissées sur le sol..Je tuerais tous ceux qui portent une arme de ce genre.Ceux qui s'interposeront subiront le même sort.Tout le monde,exepté Aoki-chan et Shin'ichi-kun, en paieront le prix jusqu'a ce que ma soif de vengeance sera étanchée...Ce n'est qu'a partir de ce moment la que je te rejoindrais,patience,Chieko-chan.**

Celui que l'on pourrait désormais qualifier de démon détalla très rapidement,en prenant soin de quitter la route normale.A présent il se cacherait partout,pour mieux tuer ses victimes par surprise..La chasse venait de commencer véritablement pour l'élève taciturne nommé Raijiku Satsuki.

Etendue d'eau Survivre ou périr